Communiqué : La nouvelle saison de la Cinquième Salle de la Place des Arts a été dévoilée. Des créateurs d’envergure, de jeunes artistes prometteurs et de belles surprises venues d’ailleurs.
DANSE
Depuis 2011, la Cinquième Salle est associée avec Danse Danse pour le volet danse de sa programmation. Cette année encore, ce partenariat promet de beaux moments : du 7 au 17 novembre, le rafraîchissant Frédérick Gravel y présente en première mondiale sa nouvelle création pour 8 interprètes: Usually beauty fails, mélange explosif des ingrédients qui ont fait sa renommée : humour, musique live, audace et poésie !
En Chine, TAO Dance Theatre est l’une des compagnies les plus en vue sur la scène contemporaine ; du 27 novembre au 1er décembre, elle débarque à Montréal avec 4 + 2, du chorégraphe Tao Ye : une danse formelle, influencée par les arts martiaux. Du 16 au 26 janvier, on retrouvera avec grand plaisir le flamenco de La Otra Orilla, avec une nouvelle création : Homoblablatus. Nul doute que Myriam Allard et Hedi Graja sauront encore une fois revisiter l’art andalou et nous le servir à leur sauce résolument moderne !
Directement débarquée de la scène punk-rock néerlandaise, la compagnie T.R.A.S.H devrait faire trembler le plancher avec le programme double Enchanted Room et T+Bernadette, à mi-chemin entre la danse et la performance, du 5 au 9 mars.
Vous aviez hâte de revoir la grande Margie Gillis, dont l’indéniable talent lui a valu tout récemment un Prix du Gouverneur général ? Ce sera chose possible du 26 au 30 mars, avec The Light Between, une série de solos, duos et trios, dans un décor signé Randal Newman, peintre et sculpteur avec qui Gillis rêvait de travailler depuis longtemps.
Collaboration heureuse aussi du côté de Roger Sinha, qui fait appelà Kia Tabassian et l’Ensemble Constantinople pour Sunya, une pièce qui réunit quatre danseurs et trois musiciens. Si on se fie à leurs talents respectifs pour le métissage des influences, le dialogue entre les deux troupes s’annonce très savoureux !
En février, Paula de Vasconcelos sera de retour à la Cinquième Salle avec la nouvelle création de Pigeons International.
THÉÂTRE
Côté théâtre, cette nouvelle saison sera résolument placée sous le signe de la prise de parole.
Celle, pleine d’espoir et de désillusions, de Dominic Champagne qui nous offre la chance de voir ou revoir Tout ça m’assassine : trois courtes pièces sur l’air du temps signées Patrice Desbiens, Pierre Lefebvre et Dominic Champagne.
Suivra du 6 au 15 décembre une parole que l’on a rarement la chance d’entendre : celle de femmes musulmanes, dont les témoignages ont inspiré Les Monologues voilés. Cette proposition de Adelheid Roosen aborde sans tabou des sujets éminemment intimes, parfois sensibles, avec beaucoup d’humour et de délicatesse.
«Vous êtes libres », c’est l’invitation que la Cinquième Salle a lancée à Anaïs Barbeau-Lavalette et Émile Proulx-Cloutier. Libres d’orchestrer un spectacle comme un grand saut dans le vide, libres de faire dialoguer le conte, le cinéma documentaire, le théâtre, la chanson, la poésie, le cirque, l’absurde, le politique, libres de provoquer des rencontres avec des artistes qui les inspirent, dans un Cabaret multi, trois soirs seulement, du 4 au 6 avril.
FESTIVALS
Son emplacement au coeur de la ville et sa structure entièrement modulable font de la Cinquième Salle un lieu de choix pour de nombreux festivals. Dès le 22 septembre, le Festival international de la Littérature prendra ses quartiers, suivi par le Festival du Monde Arabe du 30 octobre au 13 novembre. En février, on pourra suivre le Festival Montréal / Nouvelles Musiques. Du 16 au 26 mars, au tour du Festival International du Film sur l’art de s’installer, et au printemps, rendez-vous pour le Festival TransAmériques, entre le 20 mai et le 8 juin.
La Cinquième Salle est un lieu privilégié dédié à la création et l’expérimentation, offrant une proximité précieuse entre les artistes et le public grandissant.
Communiqué : La nouvelle saison de la Cinquième Salle de la Place des Arts a été dévoilée. Des créateurs d’envergure, de jeunes artistes prometteurs et de belles surprises venues d’ailleurs.
DANSE
Depuis 2011, la Cinquième Salle est associée avec Danse Danse pour le volet danse de sa programmation. Cette année encore, ce partenariat promet de beaux moments : du 7 au 17 novembre, le rafraîchissant Frédérick Gravel y présente en première mondiale sa nouvelle création pour 8 interprètes: Usually beauty fails, mélange explosif des ingrédients qui ont fait sa renommée : humour, musique live, audace et poésie !
En Chine, TAO Dance Theatre est l’une des compagnies les plus en vue sur la scène contemporaine ; du 27 novembre au 1er décembre, elle débarque à Montréal avec 4 + 2, du chorégraphe Tao Ye : une danse formelle, influencée par les arts martiaux. Du 16 au 26 janvier, on retrouvera avec grand plaisir le flamenco de La Otra Orilla, avec une nouvelle création : Homoblablatus. Nul doute que Myriam Allard et Hedi Graja sauront encore une fois revisiter l’art andalou et nous le servir à leur sauce résolument moderne !
Directement débarquée de la scène punk-rock néerlandaise, la compagnie T.R.A.S.H devrait faire trembler le plancher avec le programme double Enchanted Room et T+Bernadette, à mi-chemin entre la danse et la performance, du 5 au 9 mars.
Vous aviez hâte de revoir la grande Margie Gillis, dont l’indéniable talent lui a valu tout récemment un Prix du Gouverneur général ? Ce sera chose possible du 26 au 30 mars, avec The Light Between, une série de solos, duos et trios, dans un décor signé Randal Newman, peintre et sculpteur avec qui Gillis rêvait de travailler depuis longtemps.
Collaboration heureuse aussi du côté de Roger Sinha, qui fait appelà Kia Tabassian et l’Ensemble Constantinople pour Sunya, une pièce qui réunit quatre danseurs et trois musiciens. Si on se fie à leurs talents respectifs pour le métissage des influences, le dialogue entre les deux troupes s’annonce très savoureux !
En février, Paula de Vasconcelos sera de retour à la Cinquième Salle avec la nouvelle création de Pigeons International.
THÉÂTRE
Côté théâtre, cette nouvelle saison sera résolument placée sous le signe de la prise de parole.
Celle, pleine d’espoir et de désillusions, de Dominic Champagne qui nous offre la chance de voir ou revoir Tout ça m’assassine : trois courtes pièces sur l’air du temps signées Patrice Desbiens, Pierre Lefebvre et Dominic Champagne.
Suivra du 6 au 15 décembre une parole que l’on a rarement la chance d’entendre : celle de femmes musulmanes, dont les témoignages ont inspiré Les Monologues voilés. Cette proposition de Adelheid Roosen aborde sans tabou des sujets éminemment intimes, parfois sensibles, avec beaucoup d’humour et de délicatesse.
«Vous êtes libres », c’est l’invitation que la Cinquième Salle a lancée à Anaïs Barbeau-Lavalette et Émile Proulx-Cloutier. Libres d’orchestrer un spectacle comme un grand saut dans le vide, libres de faire dialoguer le conte, le cinéma documentaire, le théâtre, la chanson, la poésie, le cirque, l’absurde, le politique, libres de provoquer des rencontres avec des artistes qui les inspirent, dans un Cabaret multi, trois soirs seulement, du 4 au 6 avril.
FESTIVALS
Son emplacement au coeur de la ville et sa structure entièrement modulable font de la Cinquième Salle un lieu de choix pour de nombreux festivals. Dès le 22 septembre, le Festival international de la Littérature prendra ses quartiers, suivi par le Festival du Monde Arabe du 30 octobre au 13 novembre. En février, on pourra suivre le Festival Montréal / Nouvelles Musiques. Du 16 au 26 mars, au tour du Festival International du Film sur l’art de s’installer, et au printemps, rendez-vous pour le Festival TransAmériques, entre le 20 mai et le 8 juin.
La Cinquième Salle est un lieu privilégié dédié à la création et l’expérimentation, offrant une proximité précieuse entre les artistes et le public grandissant.