Vient de paraître chez Leméac Éditeur, Moi, dans les ruines rouges du siècle, une pièce d’Olivier Kemeid. Inspirée de la vie de Sasha Samar, acteur québécois d’origine ukrainienne, la pièce inscrit ce parcours intime dans les grands chocs de l’Histoire. Sur fond de dislocation des idéaux, de poésie et de tragédie personnelle, une fresque tour à tour cocasse et mouvementée, pleine d’ironie et de compassion, qui porte avant tout sur le mensonge, sa beauté et ses ravages.
Bonsoir / Je m’appelle Sasha / L’histoire que vous allez entendre / Je ne sais pas pourquoi je la raconte / Peut- être d’ailleurs que je ne la raconte pas vraiment / Peut- être que c’est elle qui se raconte malgré moi / C’est donc l’histoire d’une vie qui va se raconter à travers moi / Et cette vie / C’est la mienne
Sasha vit seul avec son père, qui l’a kidnappé alors qu’il était enfant. Dans une Union soviétique en train de se désagréger, entre l’explosion de Tchernobyl et les secousses de la Glasnost, il décide de devenir célèbre pour retrouver sa mère, tentant de se construire à même les décombres du siècle qui s’achève. Il est aidé par un ami comédien qui ressuscite le fantôme de Lénine, et par une amoureuse qui fonde tous ses espoirs dans la Perestroïka…
Auteur, metteur en scène, directeur artistique de la compagnie de théâtre Trois Tristes Tigres, ancien directeur artistique d’Espace Libre et membre du comité de rédaction de Liberté, Olivier Kemeid a signé une quinzaine de pièces, seul ou en collaboration, ainsi que quelques adaptations. Sa relecture de L’Énéide a été traduite en plusieurs langues et est toujours jouée à travers le monde. Deux de ses pièces ont été créées cette année sur les scènes montréalaises: Furieux et désespérés au Théâtre d’Aujourd’hui et Survivre au Théâtre de Quat’Sous. Joué avec un succès immense au Théâtre d’Aujourd’hui l’an dernier, Moi, dans les ruines rouges du siècle y sera repris en septembre 2013, en ouverture de saison, avant de tourner un peu partout au Québec, à Ottawa, à Vancouver et à l’étranger.
Communiqué de presse // www.lemeac.com
Vient de paraître chez Leméac Éditeur, Moi, dans les ruines rouges du siècle, une pièce d’Olivier Kemeid. Inspirée de la vie de Sasha Samar, acteur québécois d’origine ukrainienne, la pièce inscrit ce parcours intime dans les grands chocs de l’Histoire. Sur fond de dislocation des idéaux, de poésie et de tragédie personnelle, une fresque tour à tour cocasse et mouvementée, pleine d’ironie et de compassion, qui porte avant tout sur le mensonge, sa beauté et ses ravages.
Bonsoir / Je m’appelle Sasha / L’histoire que vous allez entendre / Je ne sais pas pourquoi je la raconte / Peut- être d’ailleurs que je ne la raconte pas vraiment / Peut- être que c’est elle qui se raconte malgré moi / C’est donc l’histoire d’une vie qui va se raconter à travers moi / Et cette vie / C’est la mienne
Sasha vit seul avec son père, qui l’a kidnappé alors qu’il était enfant. Dans une Union soviétique en train de se désagréger, entre l’explosion de Tchernobyl et les secousses de la Glasnost, il décide de devenir célèbre pour retrouver sa mère, tentant de se construire à même les décombres du siècle qui s’achève. Il est aidé par un ami comédien qui ressuscite le fantôme de Lénine, et par une amoureuse qui fonde tous ses espoirs dans la Perestroïka…
Auteur, metteur en scène, directeur artistique de la compagnie de théâtre Trois Tristes Tigres, ancien directeur artistique d’Espace Libre et membre du comité de rédaction de Liberté, Olivier Kemeid a signé une quinzaine de pièces, seul ou en collaboration, ainsi que quelques adaptations. Sa relecture de L’Énéide a été traduite en plusieurs langues et est toujours jouée à travers le monde. Deux de ses pièces ont été créées cette année sur les scènes montréalaises: Furieux et désespérés au Théâtre d’Aujourd’hui et Survivre au Théâtre de Quat’Sous. Joué avec un succès immense au Théâtre d’Aujourd’hui l’an dernier, Moi, dans les ruines rouges du siècle y sera repris en septembre 2013, en ouverture de saison, avant de tourner un peu partout au Québec, à Ottawa, à Vancouver et à l’étranger.
Communiqué de presse // www.lemeac.com