Inscrits dans la génétique du OFFTA, les MIXOFFs sont des événements où se rencontrent deux artistes issus de différentes disciplines pour créer un objet insolite. Pour ouvrir la 8e édition, le OFFTA est donc très fier d’avoir initié la rencontre entre la poésie sensible du groupe Dear Criminals et l’imaginaire éclaté de Monia Chokri. Ils bâtiront ensemble un objet sur mesure pour l’ouverture du festival.
Pour le deuxième MIXOFF, Jacob Wren, auteur pamphlétaire/performeur, et Raphaëlle de Groot, artiste visuelle présentée à la dernière Biennale de Venise, mèneront une réflexion sur le nomadisme contemporain et les notions de territoire et d’errance, au cours d’une «vente de garage» de 6 heures.
Faisant place à la relève artistique d’ici, le OFFTA a offert à Mellissa Larivière, directrice artistique de Zone Homa, une soirée carte blanche lors de laquelle elle présentera ses coups de coeur du moment. La Soirée qui goûte le mauve dévoilera le meilleur de la nouvelle génération de créateurs montréalais à travers de courtes formes créées pour l’occasion.
Présentés en programme double, Cube blanc de Gabriel Plante mettra en lumière, dans cet objet scénique radical, la distance qui la distance qui sépare les humains et Nudity, Desire de Benjamin Kamino explorera les origines du désir et les bases du langage dans un solo à l’état sauvage.
De son côté, avec NGS («Native Girl Syndrome»), Lara Kramer nous offrira une performance scénique saisissante où les danseuses Karina Iraola et Angie Cheng incarneront la quête et l’aliénation d’êtres déchirés et sans domicile; un travail inspiré directement du vécu de sa grand-mère ayant quitté sa communauté autochtone pour une vie urbaine.
En représentation à trois reprises dans l’intimité de la salle de répétition de l’Usine C, Série Portraits de Sarah-Ève Grant nous fera vivre une expérience entre la fiction et le réel: trois portraits presque biographiques où le commencement et la fin du spectacle se confondent en fête de sous-sol hallucinée.
Mellissa Larivière se joindra à Simon-Pierre Lambert, Charles Dauphinais, Maxime Carbonneau, et Navet Confit dans PAN/// POP///R// (fantasmagorie sur Léon Thérémine), une réflexion sur la pop comme véhicule contestataire à travers le détournement idéologique et révolutionnaire de l’inventeur du Thérémine.
Un programme triple regroupera ensuite trois performances unies par une réflexion sur le rituel et le sacré. Charcuterie, de Caroline Laurin- Beaucage, nous confrontera à notre rapport à la chair et à la mort, par l’entremise d’un dépeçage de poulets chorégraphié. Le Chantier des Cochylis performance de Donald Trépanier, nous plongera au centre d’actions spirituelles et politiques. Enfin, la chorégraphie de Monsters, Angels and Aliens are not a Subsbstitute for Spirituality d’Andrew Tay changera le kitsch en rituel puissant.
Why not theater et Complicite creative learning proposeront Like Mother, Like Daughter, une rencontre avec des mères et filles juives, qui partageront avec nous leurs confidences autour de plats traditionnels.
Une soirée de clôture hors normes dans l’Église Ste-Brigide de Kildare débutera par la performance d’Étienne Boulanger et Julie-Andrée T., Comment arracher les pétales d’une rose avec un 2X4, une oeuvre qui mélange rénovations, poésie et force brute. Bobo Boutin se mettra outrageusement en scène usant de lip sync sur sa propre voix préenregistrée dans Musique Forclorique. Et c’est finalement au moyen de projections et de musique immersives qu’Organ Mood construira une architecture lumineuse répondant à celle de l’imposante rosace de Ste-Brigide dans Une Démonstration.
Enfin, une dizaine d’activités en marge de la programmation dont plusieurs partys ponctueront la 8e édition du OFFTA. Les détails se trouvent sur notre site.
Communiqué de presse // OFFTA
Inscrits dans la génétique du OFFTA, les MIXOFFs sont des événements où se rencontrent deux artistes issus de différentes disciplines pour créer un objet insolite. Pour ouvrir la 8e édition, le OFFTA est donc très fier d’avoir initié la rencontre entre la poésie sensible du groupe Dear Criminals et l’imaginaire éclaté de Monia Chokri. Ils bâtiront ensemble un objet sur mesure pour l’ouverture du festival.
Pour le deuxième MIXOFF, Jacob Wren, auteur pamphlétaire/performeur, et Raphaëlle de Groot, artiste visuelle présentée à la dernière Biennale de Venise, mèneront une réflexion sur le nomadisme contemporain et les notions de territoire et d’errance, au cours d’une «vente de garage» de 6 heures.
Faisant place à la relève artistique d’ici, le OFFTA a offert à Mellissa Larivière, directrice artistique de Zone Homa, une soirée carte blanche lors de laquelle elle présentera ses coups de coeur du moment. La Soirée qui goûte le mauve dévoilera le meilleur de la nouvelle génération de créateurs montréalais à travers de courtes formes créées pour l’occasion.
Présentés en programme double, Cube blanc de Gabriel Plante mettra en lumière, dans cet objet scénique radical, la distance qui la distance qui sépare les humains et Nudity, Desire de Benjamin Kamino explorera les origines du désir et les bases du langage dans un solo à l’état sauvage.
De son côté, avec NGS («Native Girl Syndrome»), Lara Kramer nous offrira une performance scénique saisissante où les danseuses Karina Iraola et Angie Cheng incarneront la quête et l’aliénation d’êtres déchirés et sans domicile; un travail inspiré directement du vécu de sa grand-mère ayant quitté sa communauté autochtone pour une vie urbaine.
En représentation à trois reprises dans l’intimité de la salle de répétition de l’Usine C, Série Portraits de Sarah-Ève Grant nous fera vivre une expérience entre la fiction et le réel: trois portraits presque biographiques où le commencement et la fin du spectacle se confondent en fête de sous-sol hallucinée.
Mellissa Larivière se joindra à Simon-Pierre Lambert, Charles Dauphinais, Maxime Carbonneau, et Navet Confit dans PAN/// POP///R// (fantasmagorie sur Léon Thérémine), une réflexion sur la pop comme véhicule contestataire à travers le détournement idéologique et révolutionnaire de l’inventeur du Thérémine.
Un programme triple regroupera ensuite trois performances unies par une réflexion sur le rituel et le sacré. Charcuterie, de Caroline Laurin- Beaucage, nous confrontera à notre rapport à la chair et à la mort, par l’entremise d’un dépeçage de poulets chorégraphié. Le Chantier des Cochylis performance de Donald Trépanier, nous plongera au centre d’actions spirituelles et politiques. Enfin, la chorégraphie de Monsters, Angels and Aliens are not a Subsbstitute for Spirituality d’Andrew Tay changera le kitsch en rituel puissant.
Why not theater et Complicite creative learning proposeront Like Mother, Like Daughter, une rencontre avec des mères et filles juives, qui partageront avec nous leurs confidences autour de plats traditionnels.
Une soirée de clôture hors normes dans l’Église Ste-Brigide de Kildare débutera par la performance d’Étienne Boulanger et Julie-Andrée T., Comment arracher les pétales d’une rose avec un 2X4, une oeuvre qui mélange rénovations, poésie et force brute. Bobo Boutin se mettra outrageusement en scène usant de lip sync sur sa propre voix préenregistrée dans Musique Forclorique. Et c’est finalement au moyen de projections et de musique immersives qu’Organ Mood construira une architecture lumineuse répondant à celle de l’imposante rosace de Ste-Brigide dans Une Démonstration.
Enfin, une dizaine d’activités en marge de la programmation dont plusieurs partys ponctueront la 8e édition du OFFTA. Les détails se trouvent sur notre site.
Communiqué de presse // OFFTA