Le Théâtre Jean-Duceppe vient de dévoiler sa programmation pour la saison 2014-2015.
Du 10 septembre au 18 octobre
Peter et Alice
de John Logan, mise en scène d’Hugo Bélanger.
Avec Béatrice Picard, Carl Poliquin, Félix Beaulieu-Duchesneau, Marie-Ève Milot, Éric Paulhus, Sébastien René et Jean-Guy Viau
Les années 30. Dans une librairie de Londres, une vieille dame et un jeune homme se rencontrent. Qu’ont-ils en commun? Ils ont inspiré, lorsqu’ils étaient enfants, les auteurs des personnages célèbres d’Alice au pays des merveilles et de Peter Pan. Un héritage lourd qui laisse des traces à tout jamais dans la vie de ces deux êtres fragilisés par les icônes qu’ils ont représentées. Contre leur gré, leurs destins auront été chamboulés par des auteurs qui ont mis leur enfance sous une cloche de verre afin de garder intactes leur pureté et leur innocence.
Fasciné par la réelle rencontre de ces deux muses, l’auteur américain John Logan a imaginé ce qu’ils se sont raconté. Lequel a souffert le plus du rapport étrange que les auteurs eurent avec leur héros? La sagesse de l’âge permettra-t-elle une résilience et une délivrance salutaire? Peter et Alice, une fable qui explore avec délicatesse le sort des enfants qui deviennent des faire-valoir et qui ont à vivre toute leur vie dans l’ombre de personnages mythiques.
Du 29 octobre au 6 décembre
Août – Un repas à la campagne
de Jean Marc Dalpé, mise en scène de Martine Beaulne.
Avec Chantal Baril, Frédéric Blanchette, Kim Despatis, Michel Dumont, Monique Mercure,Gilles Renaud, Pierrette Robitaille et Isabelle Roy.
Mois d’août, fin d’après-midi, quatre générations d’une même famille se réunissent à la maison de campagne où tout le monde a vécu. Un rassemblement qui prend les allures d’un rendez-vous imposé pour tous. Pour l’occasion, on attend « ceux qui viennent de la ville » qui, sans le savoir, narguent ceux qui étouffent en campagne et rêvent de liberté, d’intensité et d’accès à une autre vie. Le silence et le déni sont assourdissants par leur présence quasi palpable. Est-ce que le clan résistera à cet après-midi chaud et étouffant?
L’écriture vivante, crue et sans complaisance de Jean Marc Dalpé nous plonge habilement dans des rapports familiaux conflictuels. Une dramaturgie qui dépeint avec beaucoup de justesse les blessures, les désirs assouvis ou non, ainsi que le défi d’exprimer ce qui gronde à l’intérieur de chacun de nous lorsque s’impose le besoin viscéral de rêver plus grand.
Du 17 décembre au 7 février
Les Chroniques de Saint-Léonard
de Steve Galluccio, mise en scène de Monique Duceppe.
Avec Émilie Bibeau, Pierre-François Legendre, Pauline Martin, Béatrice Picard, Sylvie Potvin, Claude Prégent et Harry Standjofski
Avez-vous déjà été convié à un repas à l’italienne? Tout est possible! Littéralement! Robert et Terry en savent quelque chose lorsqu’ils invitent à leur table leurs familles respectives afin de leur annoncer une grande nouvelle! Un vin maison de qualité douteuse jumelé avec une grand-maman libre de toute inhibition feront de cette tablée un terrain de jeu tout indiqué pour délier les langues, régler des comptes, dévoiler des secrets et se lancer sans ambages dans de solides démonstrations d’amour, malgré tout.
Ces êtres fougueux, attachants, à la tragédie facile sont dépeints avec plein de tendresse et d’humour par le regard vif de Steve Galluccio. Après le succès fulgurant de Mambo Italiano en 2000, celui-ci revient avec une comédie touchante de vérité qui ralliera les générations.
Du 18 février au 28 mars
Qui a peur de Virginia Woolf?
d’Edward Albee, mise en scène de Serge Denoncourt.
Avec Maude Guérin, Normand D’Amour, Kim Despatis et François-Xavier Dufour
Deux heures du matin, un couple bien nanti revient à la maison après une soirée bien arrosée. Tels deux fauves en cage, aux crocs plus qu’acérés, ils se livreront à un carnage psychologique, à une guerre de pouvoir à finir, jusqu’à l’aube. Afin de nourrir davantage leur soif de violence et de sensations fortes, ils accueilleront un jeune couple qui leur servira de pantin afin de mieux assouvir leur volonté de dominer et d’humilier l’autre. Qui a peur de Virginia Woolf?, un psychodrame captivant qui pose une question cruciale : Qui a peur de vivre une vie sans illusion?
La pièce culte d’Edward Albee, d’une grande force dramatique, propose un portrait vitriolique de la bourgeoisie américaine et de ses hypocrisies sociales et conjugales. Des dialogues de haute voltige où on ne distingue plus le vrai du faux. Une descente aux enfers cruelle et violente.
Du 8 avril au 16 mai
Judy Garland, la fin d’une étoile
de Peter Quilter, mise en scène de Michel Poirier.
Nous sommes à Londres en 1968, la grande Judy Garland (Linda Sorgini) s’apprête à remonter sur scène pour une ultime série de spectacles. Âgée de 46 ans, elle est entourée de Mickey, son dernier mari, (Éric Robidoux) et de son fidèle pianiste Anthony (Roger La Rue). Ils agissent en cerbères afin de protéger la star du monde intransigeant d’Hollywood, et surtout d’elle-même et de sa propre démesure. Malgré sa forte dépendance aux barbituriques et un passé parsemé d’abus de toutes sortes, elle reste droite, fière et veut offrir au public une dernière chance de l’acclamer, coûte que coûte. On est bien loin de l’adolescente qui incarna Dorothy dans le célèbre film, Le Magicien d’Oz.
La pièce de Peter Quilter permet une réelle incursion dans l’intimité de cette battante, de cette femme courageuse, mais aussi fragile et instable. Un drame musical qui témoigne de la splendeur et de la vulnérabilité d’une des plus grandes stars américaines qui a connu un destin des plus foudroyants.
Communiqué // Théâtre Jean-Duceppe
Le Théâtre Jean-Duceppe vient de dévoiler sa programmation pour la saison 2014-2015.
Du 10 septembre au 18 octobre
Peter et Alice
de John Logan, mise en scène d’Hugo Bélanger.
Avec Béatrice Picard, Carl Poliquin, Félix Beaulieu-Duchesneau, Marie-Ève Milot, Éric Paulhus, Sébastien René et Jean-Guy Viau
Les années 30. Dans une librairie de Londres, une vieille dame et un jeune homme se rencontrent. Qu’ont-ils en commun? Ils ont inspiré, lorsqu’ils étaient enfants, les auteurs des personnages célèbres d’Alice au pays des merveilles et de Peter Pan. Un héritage lourd qui laisse des traces à tout jamais dans la vie de ces deux êtres fragilisés par les icônes qu’ils ont représentées. Contre leur gré, leurs destins auront été chamboulés par des auteurs qui ont mis leur enfance sous une cloche de verre afin de garder intactes leur pureté et leur innocence.
Fasciné par la réelle rencontre de ces deux muses, l’auteur américain John Logan a imaginé ce qu’ils se sont raconté. Lequel a souffert le plus du rapport étrange que les auteurs eurent avec leur héros? La sagesse de l’âge permettra-t-elle une résilience et une délivrance salutaire? Peter et Alice, une fable qui explore avec délicatesse le sort des enfants qui deviennent des faire-valoir et qui ont à vivre toute leur vie dans l’ombre de personnages mythiques.
Du 29 octobre au 6 décembre
Août – Un repas à la campagne
de Jean Marc Dalpé, mise en scène de Martine Beaulne.
Avec Chantal Baril, Frédéric Blanchette, Kim Despatis, Michel Dumont, Monique Mercure,Gilles Renaud, Pierrette Robitaille et Isabelle Roy.
Mois d’août, fin d’après-midi, quatre générations d’une même famille se réunissent à la maison de campagne où tout le monde a vécu. Un rassemblement qui prend les allures d’un rendez-vous imposé pour tous. Pour l’occasion, on attend « ceux qui viennent de la ville » qui, sans le savoir, narguent ceux qui étouffent en campagne et rêvent de liberté, d’intensité et d’accès à une autre vie. Le silence et le déni sont assourdissants par leur présence quasi palpable. Est-ce que le clan résistera à cet après-midi chaud et étouffant?
L’écriture vivante, crue et sans complaisance de Jean Marc Dalpé nous plonge habilement dans des rapports familiaux conflictuels. Une dramaturgie qui dépeint avec beaucoup de justesse les blessures, les désirs assouvis ou non, ainsi que le défi d’exprimer ce qui gronde à l’intérieur de chacun de nous lorsque s’impose le besoin viscéral de rêver plus grand.
Du 17 décembre au 7 février
Les Chroniques de Saint-Léonard
de Steve Galluccio, mise en scène de Monique Duceppe.
Avec Émilie Bibeau, Pierre-François Legendre, Pauline Martin, Béatrice Picard, Sylvie Potvin, Claude Prégent et Harry Standjofski
Avez-vous déjà été convié à un repas à l’italienne? Tout est possible! Littéralement! Robert et Terry en savent quelque chose lorsqu’ils invitent à leur table leurs familles respectives afin de leur annoncer une grande nouvelle! Un vin maison de qualité douteuse jumelé avec une grand-maman libre de toute inhibition feront de cette tablée un terrain de jeu tout indiqué pour délier les langues, régler des comptes, dévoiler des secrets et se lancer sans ambages dans de solides démonstrations d’amour, malgré tout.
Ces êtres fougueux, attachants, à la tragédie facile sont dépeints avec plein de tendresse et d’humour par le regard vif de Steve Galluccio. Après le succès fulgurant de Mambo Italiano en 2000, celui-ci revient avec une comédie touchante de vérité qui ralliera les générations.
Du 18 février au 28 mars
Qui a peur de Virginia Woolf?
d’Edward Albee, mise en scène de Serge Denoncourt.
Avec Maude Guérin, Normand D’Amour, Kim Despatis et François-Xavier Dufour
Deux heures du matin, un couple bien nanti revient à la maison après une soirée bien arrosée. Tels deux fauves en cage, aux crocs plus qu’acérés, ils se livreront à un carnage psychologique, à une guerre de pouvoir à finir, jusqu’à l’aube. Afin de nourrir davantage leur soif de violence et de sensations fortes, ils accueilleront un jeune couple qui leur servira de pantin afin de mieux assouvir leur volonté de dominer et d’humilier l’autre. Qui a peur de Virginia Woolf?, un psychodrame captivant qui pose une question cruciale : Qui a peur de vivre une vie sans illusion?
La pièce culte d’Edward Albee, d’une grande force dramatique, propose un portrait vitriolique de la bourgeoisie américaine et de ses hypocrisies sociales et conjugales. Des dialogues de haute voltige où on ne distingue plus le vrai du faux. Une descente aux enfers cruelle et violente.
Du 8 avril au 16 mai
Judy Garland, la fin d’une étoile
de Peter Quilter, mise en scène de Michel Poirier.
Nous sommes à Londres en 1968, la grande Judy Garland (Linda Sorgini) s’apprête à remonter sur scène pour une ultime série de spectacles. Âgée de 46 ans, elle est entourée de Mickey, son dernier mari, (Éric Robidoux) et de son fidèle pianiste Anthony (Roger La Rue). Ils agissent en cerbères afin de protéger la star du monde intransigeant d’Hollywood, et surtout d’elle-même et de sa propre démesure. Malgré sa forte dépendance aux barbituriques et un passé parsemé d’abus de toutes sortes, elle reste droite, fière et veut offrir au public une dernière chance de l’acclamer, coûte que coûte. On est bien loin de l’adolescente qui incarna Dorothy dans le célèbre film, Le Magicien d’Oz.
La pièce de Peter Quilter permet une réelle incursion dans l’intimité de cette battante, de cette femme courageuse, mais aussi fragile et instable. Un drame musical qui témoigne de la splendeur et de la vulnérabilité d’une des plus grandes stars américaines qui a connu un destin des plus foudroyants.
Communiqué // Théâtre Jean-Duceppe