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Corps rebelles au Musée de la civilisation à Québec

L’exposition Corps rebelles, présentée du 11 mars 2015 au 14 février 2016 au Musée de la civilisation à Québec, propose une incursion inédite et mémorable dans l’univers de la danse contemporaine. Pour les néophytes comme pour les amoureux de la danse contemporaine, il s’agit d’une occasion exceptionnelle de découvrir ou redécouvrir des œuvres québécoises et internationales à travers le langage du corps en mouvement et l’écriture chorégraphique.

Danse rebelle
La danse contemporaine transgresse les règles. Rebelle, elle bouscule les références autour du corps idéal et de l’art comme simple divertissement. Chaque création dansée instaure de nouveaux référents esthétiques et poétiques. La danse se fait transdisciplinaire : elle fait tomber les frontières entre les arts et métisse son travail de composition. C’est ce que montre l’exposition.

La démonstration
Corps rebelles s’impose comme une exposition-référence autant par son approche muséographique que par la découverte et l’appréciation de l’univers créatif de cet art du spectacle vivant. Aux limites de l’installation et de l’œuvre, l’exposition présente la danse contemporaine comme un langage universel, un reflet de société, à l’aide de nombreuses productions vidéo réalisées par Jean-Louis Pecci, de photographies, de capsules informatives et de textes explicatifs.

Six thématiques, six chorégraphes, six corps dansés
Après une introduction qui campe le thème et un aperçu de l’histoire de la danse contemporaine, ce grand rendez-vous avec la danse est orienté autour de six thématiques associées au corps. Six modes d’appropriation du corps jalonnent ainsi le parcours de l’exposition présentés dans autant d’espaces immersifs. Ils sont exprimés en gestes et en paroles (à l’aide de vidéos) par Victor Quijada (corps urbain), Margie Gillis (corps naturel), France Geoffroy (corps atypique), Daniel Léveillé (corps politique), Louise Lecavalier (corps virtuose), Martine Époque et Denis Poulin (corps multi). Il va sans dire que ces chorégraphes peuvent tout aussi bien être associés à l’un ou l’autre des genres chorégraphiques.

Au Musée de la civilisation à Québec, du 11 mars 2015 au 14 février 2016. Après sa présentation à Québec, l’exposition entreprendra une tournée qui la mènera, notamment, au Musée des confluences à Lyon en 2016.

Communiqué de presse | Musée de la civilisation