L’écrivaine Evelyne de la Chenelière offre deux magnifiques pièces pour comédiennes, dans une écriture fine et puissante.
Lumières, lumières, lumières
La pièce, librement inspirée de Vers le phare de Virginia Woolf, dévoile les pensées intimes et les humeurs de Madame Ramsay et Lily, deux personnages du chef-d’œuvre de Virginia Woolf Vers le phare, pendant un été, puis dix ans après.
Alors que la première cherche son bonheur dans le mariage et la maternité, la seconde tient farouchement à son indépendance pour consacrer sa vie à la peinture. Leurs conceptions du monde semblent opposées, mais toutes deux sont éprises de beauté et de sens et cherchent à fabriquer le réel plutôt qu’à l’accepter. Une plongée dans les relations entre création, intime, espace et temps, une partition sensible pour deux comédiennes. Lumières, lumières, lumières a été mis en scène par Denis Marleau à l’Espace GO.
Septembre
Une femme reçoit un appel. Sa fille est malade, elle doit aller la chercher à l’école. Mais à son arrivée, au lieu de se précipiter à l’infirmerie, elle observe les enfants qui jouent dans la cour. C’est le point de départ d’une rêverie où elle met tour à tour en jeu les différents personnages de ce microcosme : les caïds, le petit, la populaire, la mal-aimée, le cancre, puis imagine l’irruption d’un tueur fou, révélant ainsi ses pensées les moins avouables et ses fantasmes les plus destructeurs. Un monologue kaléidoscope qui illustre l’ambivalence de la maternité et notre incapacité à préserver l’enfance.
Evelyne de la Chenelière
Née en 1975 à Montréal où elle vit et travaille, Evelyne de la Chenelière est écrivaine et comédienne. Issue du Nouveau Théâtre Expérimental, compagnie cofondée par Jean-Pierre Ronfard, elle aborde l’écriture dramatique comme un laboratoire de recherche, un atelier de fabrication d’où elle tire une partition destinée au plateau, un texte écrit pour traverser le corps des acteurs. Pourtant, ses pièces de théâtre, traduites et montées au Québec comme ailleurs dans le monde, sont aussi des œuvres littéraires, pleines et autonomes, qui interrogent la langue comme conditionnement de l’expression et de la pensée. Pour le théâtre, elle a écrit une dizaine de pièces. En 2011, elle a publié son premier roman, La Concordance des temps, aux éditions Leméac.
Communiqué de presse | Éditions Théâtrales
L’écrivaine Evelyne de la Chenelière offre deux magnifiques pièces pour comédiennes, dans une écriture fine et puissante.
Lumières, lumières, lumières
La pièce, librement inspirée de Vers le phare de Virginia Woolf, dévoile les pensées intimes et les humeurs de Madame Ramsay et Lily, deux personnages du chef-d’œuvre de Virginia Woolf Vers le phare, pendant un été, puis dix ans après.
Alors que la première cherche son bonheur dans le mariage et la maternité, la seconde tient farouchement à son indépendance pour consacrer sa vie à la peinture. Leurs conceptions du monde semblent opposées, mais toutes deux sont éprises de beauté et de sens et cherchent à fabriquer le réel plutôt qu’à l’accepter. Une plongée dans les relations entre création, intime, espace et temps, une partition sensible pour deux comédiennes. Lumières, lumières, lumières a été mis en scène par Denis Marleau à l’Espace GO.
Septembre
Une femme reçoit un appel. Sa fille est malade, elle doit aller la chercher à l’école. Mais à son arrivée, au lieu de se précipiter à l’infirmerie, elle observe les enfants qui jouent dans la cour. C’est le point de départ d’une rêverie où elle met tour à tour en jeu les différents personnages de ce microcosme : les caïds, le petit, la populaire, la mal-aimée, le cancre, puis imagine l’irruption d’un tueur fou, révélant ainsi ses pensées les moins avouables et ses fantasmes les plus destructeurs. Un monologue kaléidoscope qui illustre l’ambivalence de la maternité et notre incapacité à préserver l’enfance.
Evelyne de la Chenelière
Née en 1975 à Montréal où elle vit et travaille, Evelyne de la Chenelière est écrivaine et comédienne. Issue du Nouveau Théâtre Expérimental, compagnie cofondée par Jean-Pierre Ronfard, elle aborde l’écriture dramatique comme un laboratoire de recherche, un atelier de fabrication d’où elle tire une partition destinée au plateau, un texte écrit pour traverser le corps des acteurs. Pourtant, ses pièces de théâtre, traduites et montées au Québec comme ailleurs dans le monde, sont aussi des œuvres littéraires, pleines et autonomes, qui interrogent la langue comme conditionnement de l’expression et de la pensée. Pour le théâtre, elle a écrit une dizaine de pièces. En 2011, elle a publié son premier roman, La Concordance des temps, aux éditions Leméac.
Communiqué de presse | Éditions Théâtrales