Un récit sensible qui s’étend sur plusieurs années, sur l’absence et l’attente avec l’Histoire avec un grand H en toile de fond, voici ce que nous offrent Dominick Parenteau-Lebeuf et Éléonore Goldberg dans cet imposant roman graphique.
Novembre 2009. Pour l’anniversaire de la chute du Mur, Berlin s’apprête à démolir les dernières ruines de son passé. L’une des maisons visées abrite une chambre noire où traîne le négatif d’une photo qui rêve d’être développé : la demoiselle en blanc. En mars 1933, l’homme qui a déclenché l’objectif est parti pour des vacances qui s’éternisent, la laissant mystérieusement dans des limbes photographiques. Depuis, elle attend son retour, désespère, y croit à nouveau, écoute, observe au dehors, tente de donner sens au mystère de cette absence. Elle va ainsi traverser, en 28 000 nuits, une bonne part du XXe siècle.
Ce récit intimiste sur fond historique est l’adaptation de la pièce de Parenteau-Lebeuf du même nom. Goldberg a illustré avec finesse cette histoire envoûtante. Le mariage de ces deux artistes talentueuses, leur première collaboration, nous donne une bande dessinée touchante où un négatif parle avec un chat dessiné et où le monde défile à travers un soupirail.
Dramaturge et scénariste, Dominick Parenteau-Lebeuf est diplômée d’écriture dramatique de l’École nationale de théâtre du Canada.En 1998, elle remporte le Prix Gratien-Gélinas et en 2010, elle reçoit le Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton du Conseil des arts du Canada pour l’ensemble de son œuvre. Sa pièce La Demoiselle en blanc paraît en 2011 et est nominée au Prix SACD de la Dramaturgie de langue française l’année suivante.
Éléonore Goldberg est une cinéaste, animatrice et bédéiste franco-canadienne. Elle a publié des planches dessinées dans plusieurs collectifs. Elle a remporté plusieurs prix pour ces courts- métrages animés, au Québec comme à l’étranger.
Communiqué de presse | Éditions Mécanique générale
Un récit sensible qui s’étend sur plusieurs années, sur l’absence et l’attente avec l’Histoire avec un grand H en toile de fond, voici ce que nous offrent Dominick Parenteau-Lebeuf et Éléonore Goldberg dans cet imposant roman graphique.
Novembre 2009. Pour l’anniversaire de la chute du Mur, Berlin s’apprête à démolir les dernières ruines de son passé. L’une des maisons visées abrite une chambre noire où traîne le négatif d’une photo qui rêve d’être développé : la demoiselle en blanc. En mars 1933, l’homme qui a déclenché l’objectif est parti pour des vacances qui s’éternisent, la laissant mystérieusement dans des limbes photographiques. Depuis, elle attend son retour, désespère, y croit à nouveau, écoute, observe au dehors, tente de donner sens au mystère de cette absence. Elle va ainsi traverser, en 28 000 nuits, une bonne part du XXe siècle.
Ce récit intimiste sur fond historique est l’adaptation de la pièce de Parenteau-Lebeuf du même nom. Goldberg a illustré avec finesse cette histoire envoûtante. Le mariage de ces deux artistes talentueuses, leur première collaboration, nous donne une bande dessinée touchante où un négatif parle avec un chat dessiné et où le monde défile à travers un soupirail.
Dramaturge et scénariste, Dominick Parenteau-Lebeuf est diplômée d’écriture dramatique de l’École nationale de théâtre du Canada.En 1998, elle remporte le Prix Gratien-Gélinas et en 2010, elle reçoit le Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton du Conseil des arts du Canada pour l’ensemble de son œuvre. Sa pièce La Demoiselle en blanc paraît en 2011 et est nominée au Prix SACD de la Dramaturgie de langue française l’année suivante.
Éléonore Goldberg est une cinéaste, animatrice et bédéiste franco-canadienne. Elle a publié des planches dessinées dans plusieurs collectifs. Elle a remporté plusieurs prix pour ces courts- métrages animés, au Québec comme à l’étranger.
Communiqué de presse | Éditions Mécanique générale