Les créateurs que vous y découvrirez réinvestissent les grands thèmes qui font le théâtre québécois en adoptant une approche toujours renouvelée et audacieuse. Face aux leitmotivs récurrents de nos dramaturgies, les auteurs posent des constats impitoyables et révèlent des problématiques actuelles mais témoignent surtout avec justesse, esprit et brio d’un ardent désir de dialogue.
Du 20 septembre au 15 octobre 2016 : La saison commencera par La délivrance, une œuvre qui réunit une nouvelle fois Jennifer Tremblay et Sylvie Drapeau dans la troisième partie d’un triptyque théâtral entamé avec La liste et poursuivi avec Le caroussel. Dans ce solo, une femme se voit confier par sa mère mourante la difficile mission de ramener auprès d’elle le fils qu’on lui a arraché vingt ans plus tôt.
Du 15 novembre au 3 décembre 2016 : Les conflits familiaux s’incarnent également dans l’univers de Jean-Denis Beaudoin, jeune dramaturge de la ville de Québec, qui nous arrive avec un texte hors du commun : Mes enfants n’ont pas peur du noir, créé au Premier acte et qui a déjà rencontré un franc succès.
Du 7 au 25 mars 2017 : Les guerres fraternelles se perpétuent, cette fois dans la pièce Dehors où le metteur en scène Philippe Ducros s’alliera à la langue à la fois précise et poétique de l’auteur Gilles Poulin-Denis pour nous faire voyager à travers l’histoire de deux frères qui se retrouvent après dix ans de séparation.
Du 27 septembre au 15 octobre 2016 : Le brasier attise les histoires surprenantes qui peuvent découler des liens du sang. Dans cette pièce magnifiquement construite, l’auteur et artiste en résidence David Paquet s’attaquera à notre conscience collective défaillante et à l’immobilisme qui en résulte, mélangeant humanité et franchise avec le superbe sens de la formule qu’on lui connaît.
Du 8 au 26 novembre 2016 : Si monologue et voix multiples s’élèveront sur scène, le silence grondera de la même façon dans la pièce Dimanche napalm où le silence d’un fils devient révélateur d’inconforts et catalyseur de vérités jusqu’à transformer peu à peu la chimie familiale en un inflammable napalm. Réunissant une distribution impressionnante, l’auteur et metteur en scène Sébastien David pose la question de l’autonomie et de la désillusion de la jeunesse, de l’ingratitude qui en découle et de ce qui se cache dans le fossé entre les générations.
Du 11 avril au 6 mai 2017 : Avec une distribution tout aussi exceptionnelle, Étienne Lepage, voix radicale de notre dramaturgie, présente avec le metteur en scène Florent Siaud une comédie tragique intitulée Toccate et fugue qui dessinera le portrait à la fois séduisant et choquant d’une génération au bord de l’implosion.
Du 9 au 22 février 2017 : Nous retrouverons l’auteure Annick Lefebvre avec la reprise de J’accuse, grand succès de la saison 14/15, mis en scène par Sylvain Bélanger. Ici, nous découvrons des filles qui s’expriment par instinct de survie. Il y a celle qui encaisse, celle qui agresse, celle qui adule, celle qui intègre et celle qui aime. Elles sont cinq et elles ragent.
Du 25 avril au 13 mai 2017 : La pièce Nuits frauduleuses quant à elle voit le jour grâce à un collectif d’auteurs dans le but qu’amis et ennemis de la poésie l’entendent sous de nouvelles formes. La metteure en scène et artiste en résidence Alix Dufresne nous promet, avec la collaboration de Jérémie Francoeur, un spectacle hors normes qui flirte avec la performance autour des écrits des poètes québécois de la Génération Y.
Du 17 janvier au 4 février 2017 : À l’ère des avancées technologiques, la pièce Siri nous propose un face à face qui oppose et lie l’humain et la technologie. Dans une mise en scène de Maxime Carbonneau, la comédienne Laurence Dauphinais entre en dialogue avec Siri, l’assistante personnelle créée par Apple.
Du 28 février au 18 mars 2017 : L’auteur Jean-Philippe Lehoux et le metteur en scène Michel-Maxime Legault s’unissent pour nous offrir Irène sur Mars, une pièce irrévérencieuse et espiègle qui présente une histoire de transmission difficile et d’incompréhension : le testament d’une femme à l’aube de la vieillesse qui n’a plus rien à perdre.
Les pièces de cette saison questionnent, amusent, étonnent, éclairent et choquent. C’est dans un constant souci de questionner la réalité du monde et l’espoir d’une solidarité renouvelée que le Centre du Théâtre d’Aujourd’hui a choisi des auteurs à la plume aiguisée qui, à travers leurs histoires, nous permettent de bousculer nos idées pour préparer la suite du monde.
Communiqué de presse | Centre du Théâtre d’Aujourd’hui
Les créateurs que vous y découvrirez réinvestissent les grands thèmes qui font le théâtre québécois en adoptant une approche toujours renouvelée et audacieuse. Face aux leitmotivs récurrents de nos dramaturgies, les auteurs posent des constats impitoyables et révèlent des problématiques actuelles mais témoignent surtout avec justesse, esprit et brio d’un ardent désir de dialogue.
Du 20 septembre au 15 octobre 2016 : La saison commencera par La délivrance, une œuvre qui réunit une nouvelle fois Jennifer Tremblay et Sylvie Drapeau dans la troisième partie d’un triptyque théâtral entamé avec La liste et poursuivi avec Le caroussel. Dans ce solo, une femme se voit confier par sa mère mourante la difficile mission de ramener auprès d’elle le fils qu’on lui a arraché vingt ans plus tôt.
Du 15 novembre au 3 décembre 2016 : Les conflits familiaux s’incarnent également dans l’univers de Jean-Denis Beaudoin, jeune dramaturge de la ville de Québec, qui nous arrive avec un texte hors du commun : Mes enfants n’ont pas peur du noir, créé au Premier acte et qui a déjà rencontré un franc succès.
Du 7 au 25 mars 2017 : Les guerres fraternelles se perpétuent, cette fois dans la pièce Dehors où le metteur en scène Philippe Ducros s’alliera à la langue à la fois précise et poétique de l’auteur Gilles Poulin-Denis pour nous faire voyager à travers l’histoire de deux frères qui se retrouvent après dix ans de séparation.
Du 27 septembre au 15 octobre 2016 : Le brasier attise les histoires surprenantes qui peuvent découler des liens du sang. Dans cette pièce magnifiquement construite, l’auteur et artiste en résidence David Paquet s’attaquera à notre conscience collective défaillante et à l’immobilisme qui en résulte, mélangeant humanité et franchise avec le superbe sens de la formule qu’on lui connaît.
Du 8 au 26 novembre 2016 : Si monologue et voix multiples s’élèveront sur scène, le silence grondera de la même façon dans la pièce Dimanche napalm où le silence d’un fils devient révélateur d’inconforts et catalyseur de vérités jusqu’à transformer peu à peu la chimie familiale en un inflammable napalm. Réunissant une distribution impressionnante, l’auteur et metteur en scène Sébastien David pose la question de l’autonomie et de la désillusion de la jeunesse, de l’ingratitude qui en découle et de ce qui se cache dans le fossé entre les générations.
Du 11 avril au 6 mai 2017 : Avec une distribution tout aussi exceptionnelle, Étienne Lepage, voix radicale de notre dramaturgie, présente avec le metteur en scène Florent Siaud une comédie tragique intitulée Toccate et fugue qui dessinera le portrait à la fois séduisant et choquant d’une génération au bord de l’implosion.
Du 9 au 22 février 2017 : Nous retrouverons l’auteure Annick Lefebvre avec la reprise de J’accuse, grand succès de la saison 14/15, mis en scène par Sylvain Bélanger. Ici, nous découvrons des filles qui s’expriment par instinct de survie. Il y a celle qui encaisse, celle qui agresse, celle qui adule, celle qui intègre et celle qui aime. Elles sont cinq et elles ragent.
Du 25 avril au 13 mai 2017 : La pièce Nuits frauduleuses quant à elle voit le jour grâce à un collectif d’auteurs dans le but qu’amis et ennemis de la poésie l’entendent sous de nouvelles formes. La metteure en scène et artiste en résidence Alix Dufresne nous promet, avec la collaboration de Jérémie Francoeur, un spectacle hors normes qui flirte avec la performance autour des écrits des poètes québécois de la Génération Y.
Du 17 janvier au 4 février 2017 : À l’ère des avancées technologiques, la pièce Siri nous propose un face à face qui oppose et lie l’humain et la technologie. Dans une mise en scène de Maxime Carbonneau, la comédienne Laurence Dauphinais entre en dialogue avec Siri, l’assistante personnelle créée par Apple.
Du 28 février au 18 mars 2017 : L’auteur Jean-Philippe Lehoux et le metteur en scène Michel-Maxime Legault s’unissent pour nous offrir Irène sur Mars, une pièce irrévérencieuse et espiègle qui présente une histoire de transmission difficile et d’incompréhension : le testament d’une femme à l’aube de la vieillesse qui n’a plus rien à perdre.
Les pièces de cette saison questionnent, amusent, étonnent, éclairent et choquent. C’est dans un constant souci de questionner la réalité du monde et l’espoir d’une solidarité renouvelée que le Centre du Théâtre d’Aujourd’hui a choisi des auteurs à la plume aiguisée qui, à travers leurs histoires, nous permettent de bousculer nos idées pour préparer la suite du monde.
Communiqué de presse | Centre du Théâtre d’Aujourd’hui