Cadette d’une famille de trois enfants, Alice a une tête de mule qui lui fait mal de temps en temps. Rien d’alarmant. Entre sa grande sœur capricieuse et sa petite sœur qui ne veut pas grandir, elle semble destinée à un avenir de fillette normale qui a hâte d’aller à l’école. Mais le jour de la rentrée arrive, et elle n’y va pas. Malade.
Commencent les tests, les inquiétudes, le terrible diagnostic, les traitements… Ses parents et ses sœurs apprennent à vivre avec «ça», qu’on a du mal à nommer. Ils entourent Alice de leur amour, l’accompagnent jusqu’au dernier jour et devront ensuite réinventer la vie, une vie dont elle fera toujours partie.
Chef de file de la dramaturgie pour jeune public ici et à l’étranger, Suzanne Lebeau aborde une fois de plus un sujet difficile avec la rigueur, la précision et la délicatesse qu’on lui connaît. Son texte émouvant, bercé par une tendresse, une acuité du regard et une sorte de paix résolument porteuses d’espoir, met des mots sur la douleur comme sur les petites joies.
Communiqué de presse | Leméac
Cadette d’une famille de trois enfants, Alice a une tête de mule qui lui fait mal de temps en temps. Rien d’alarmant. Entre sa grande sœur capricieuse et sa petite sœur qui ne veut pas grandir, elle semble destinée à un avenir de fillette normale qui a hâte d’aller à l’école. Mais le jour de la rentrée arrive, et elle n’y va pas. Malade.
Commencent les tests, les inquiétudes, le terrible diagnostic, les traitements… Ses parents et ses sœurs apprennent à vivre avec «ça», qu’on a du mal à nommer. Ils entourent Alice de leur amour, l’accompagnent jusqu’au dernier jour et devront ensuite réinventer la vie, une vie dont elle fera toujours partie.
Chef de file de la dramaturgie pour jeune public ici et à l’étranger, Suzanne Lebeau aborde une fois de plus un sujet difficile avec la rigueur, la précision et la délicatesse qu’on lui connaît. Son texte émouvant, bercé par une tendresse, une acuité du regard et une sorte de paix résolument porteuses d’espoir, met des mots sur la douleur comme sur les petites joies.
Communiqué de presse | Leméac