Cette 21e saison témoigne avec force de l’ouverture, la mixité et la diversité de la création actuelle en danse. De Johannesbourg à Montréal, en passant par Belo Horizonte, Bruxelles, Londres, San Francisco, Stuttgart, Toronto et Vancouver, Danse Danse dévoile une saison ouverte sur le monde qui met en lumière l’immense talent des créateurs d’ici et d’ailleurs. La musique, interprétée en direct dans plusieurs spectacles, promet d’être plus présente que jamais.
Après un passage qui a enflammé le public en 2016, la chorégraphe Dada Masilo (Johannesbourg) ouvrira la saison en force avec sa relecture décapante du ballet classique Giselle, l’ancrant dans la réalité sud-africaine contemporaine. En octobre, Sylvain Lafortune et Esther Rousseau-Morin (Montréal) feront découvrir au public L’un L’autre, un premier duo né de leur complicité artistique. Gauthier Dance//Dance Company Theaterhaus Stuttgart poursuit la saison avec la soirée Grandes Dames, un programme qui rend notamment hommage à Pina Bausch et à Louise Lecavalier. Vient ensuite la danse incandescente de Tentacle Tribe (Montréal), qui s’immisce dans la mystérieuse mécanique de la respiration avec Ghost, un opus mettant en scène six des meilleurs street dancers de Montréal. En décembre, Danse Danse offre un grand plateau à Victor Quijada (Montréal), qui présentera Vraiment doucement, un éloge à la transformation des corps.
Premiers à fouler la scène en 2019, les 21 danseurs de Grupo Corpo (Belo Horizonte/Brésil), célébrés dans le monde entier, brilleront encore une fois avec Bach et Gira. Après nous avoir donné Rain en 2017, Anne Teresa de Keersmaeker (Bruxelles) fait son retour aux côtés de Salva Sanchis et promet de séduire avec A Love Supreme. Akram Khan (Londres) sera quant à lui accompagné sur scène par cinq musiciens dans Xenos, une épopée en mouvement qui interroge l’histoire et notre mémoire. Fin février, Peggy Baker (Toronto), figure acclamée de la danse contemporaine canadienne sonde les mystères des ténèbres et révéle les splendeurs de l’âme humaine avec who we are in the dark. Les Ballets Jazz de Montréal feront à nouveau vibrer la scène le temps de six soirées avec Dance Me, leur incontournable hommage à Leonard Cohen. Invitant le public à la rencontre des arts vivants autochtones, la compagnie Red Sky Performance (Toronto) illuminera le mois de mars avec sa très actuelle Backbone. Avec Revisor, Kidd Pivot (Vancouver) déploiera une danse théâtrale inédite. Et pour clôturer la saison avec éclat, un coup de cœur annoncé: Alonzo King (San Francisco), considéré comme l’un des maîtres de la danse en Amérique, débarque avec The Propelled Heart.
Cette 21e saison témoigne avec force de l’ouverture, la mixité et la diversité de la création actuelle en danse. De Johannesbourg à Montréal, en passant par Belo Horizonte, Bruxelles, Londres, San Francisco, Stuttgart, Toronto et Vancouver, Danse Danse dévoile une saison ouverte sur le monde qui met en lumière l’immense talent des créateurs d’ici et d’ailleurs. La musique, interprétée en direct dans plusieurs spectacles, promet d’être plus présente que jamais.
Après un passage qui a enflammé le public en 2016, la chorégraphe Dada Masilo (Johannesbourg) ouvrira la saison en force avec sa relecture décapante du ballet classique Giselle, l’ancrant dans la réalité sud-africaine contemporaine. En octobre, Sylvain Lafortune et Esther Rousseau-Morin (Montréal) feront découvrir au public L’un L’autre, un premier duo né de leur complicité artistique. Gauthier Dance//Dance Company Theaterhaus Stuttgart poursuit la saison avec la soirée Grandes Dames, un programme qui rend notamment hommage à Pina Bausch et à Louise Lecavalier. Vient ensuite la danse incandescente de Tentacle Tribe (Montréal), qui s’immisce dans la mystérieuse mécanique de la respiration avec Ghost, un opus mettant en scène six des meilleurs street dancers de Montréal. En décembre, Danse Danse offre un grand plateau à Victor Quijada (Montréal), qui présentera Vraiment doucement, un éloge à la transformation des corps.
Premiers à fouler la scène en 2019, les 21 danseurs de Grupo Corpo (Belo Horizonte/Brésil), célébrés dans le monde entier, brilleront encore une fois avec Bach et Gira. Après nous avoir donné Rain en 2017, Anne Teresa de Keersmaeker (Bruxelles) fait son retour aux côtés de Salva Sanchis et promet de séduire avec A Love Supreme. Akram Khan (Londres) sera quant à lui accompagné sur scène par cinq musiciens dans Xenos, une épopée en mouvement qui interroge l’histoire et notre mémoire. Fin février, Peggy Baker (Toronto), figure acclamée de la danse contemporaine canadienne sonde les mystères des ténèbres et révéle les splendeurs de l’âme humaine avec who we are in the dark. Les Ballets Jazz de Montréal feront à nouveau vibrer la scène le temps de six soirées avec Dance Me, leur incontournable hommage à Leonard Cohen. Invitant le public à la rencontre des arts vivants autochtones, la compagnie Red Sky Performance (Toronto) illuminera le mois de mars avec sa très actuelle Backbone. Avec Revisor, Kidd Pivot (Vancouver) déploiera une danse théâtrale inédite. Et pour clôturer la saison avec éclat, un coup de cœur annoncé: Alonzo King (San Francisco), considéré comme l’un des maîtres de la danse en Amérique, débarque avec The Propelled Heart.
Communiqué de presse | Danse Danse