La 20e saison du MAI est une invitation autant qu’un défi: il ne suffira pas de liker pour voir changer le monde, il faut prouver son amour, s’engager, agir, participer. Il faut par amour sortir de chez soi, de son confort, de ses préjugés et se confronter aux propositions artistiques qui animeront le MAI, lieu d’expression et d’action pour des artistes qui donnent place aux voix minoritaires, aux opprimés, aux déplacés, pour des artistes qui hybrident et questionnent les disciplines artistiques, dénonçant les discriminations, les ignorances, les héritages d’injustice, accueillant l’altérité sous toutes ses formes.
Pour cette 20e programmation et plus que jamais, le MAI s’affirme comme le lieu où créativité et liberté d’expression ne contredisent jamais le souci de diversité, d’inclusivité, d’équité, les impératifs de l’attention, de l’amour, de l’ouverture à l’autre. Cette saison est portée par des artistes autochtones, des figures familières de la communauté, des créateurs venus de Toronto, Vancouver, New-York, Los Angeles, Londres ou Paris, originaires de Syrie, du Nigéria, de Colombie, d’Iran ou de Chine, des créateurs de l’underground autant que des artistes établis comme Zab Maboungou et des complices de longue date du MAI comme Alexandra ‘Spicey’ Landé (photo). Cette saison, pas moins de quatre artistes bénéficieront d’une résidence de création rémunérée dans le cadre de La ruche, créations en résidence: Sophie Gee et Ülfet Sevdi en théâtre, ainsi que les deux trios Angie Cheng, Winnie Ho, Chi Long, et Hanako Hoshimi-Caines, Zoe Poluch et Elisa Harkins en danse.
Parmi la trentaine de propositions artistiques, soulignons la deuxième édition du cycle de performances Prendre place (15-18 mai 2019), qui avait suscité un accueil enthousiaste en 2017, et la création d’une nouvelle série de performances Black.Art.emPowerment (12-27 avril 2019). À ne pas manquer, l’opéra algonquin Wàzakozi de l’artiste post-genre Mich Cota, la performance du duo RoyaLazyness (Luca ‘Lazylegs’ Patuelli et Roya The Destroya) ou encore le concert-performance Own your Voice de Madame Gandhi (activiste, performeuse, batteuse de M.I.A. ou de Thievery Corporation) s’annoncent comme d’autres temps forts de cette la saison, portés par des artistes qui ont le courage de s’exposer, qui prennent des risques en prenant la scène, sans se donner aucune excuse.
Communiqué de presse | MAI
La 20e saison du MAI est une invitation autant qu’un défi: il ne suffira pas de liker pour voir changer le monde, il faut prouver son amour, s’engager, agir, participer. Il faut par amour sortir de chez soi, de son confort, de ses préjugés et se confronter aux propositions artistiques qui animeront le MAI, lieu d’expression et d’action pour des artistes qui donnent place aux voix minoritaires, aux opprimés, aux déplacés, pour des artistes qui hybrident et questionnent les disciplines artistiques, dénonçant les discriminations, les ignorances, les héritages d’injustice, accueillant l’altérité sous toutes ses formes.
Pour cette 20e programmation et plus que jamais, le MAI s’affirme comme le lieu où créativité et liberté d’expression ne contredisent jamais le souci de diversité, d’inclusivité, d’équité, les impératifs de l’attention, de l’amour, de l’ouverture à l’autre. Cette saison est portée par des artistes autochtones, des figures familières de la communauté, des créateurs venus de Toronto, Vancouver, New-York, Los Angeles, Londres ou Paris, originaires de Syrie, du Nigéria, de Colombie, d’Iran ou de Chine, des créateurs de l’underground autant que des artistes établis comme Zab Maboungou et des complices de longue date du MAI comme Alexandra ‘Spicey’ Landé (photo). Cette saison, pas moins de quatre artistes bénéficieront d’une résidence de création rémunérée dans le cadre de La ruche, créations en résidence: Sophie Gee et Ülfet Sevdi en théâtre, ainsi que les deux trios Angie Cheng, Winnie Ho, Chi Long, et Hanako Hoshimi-Caines, Zoe Poluch et Elisa Harkins en danse.
Parmi la trentaine de propositions artistiques, soulignons la deuxième édition du cycle de performances Prendre place (15-18 mai 2019), qui avait suscité un accueil enthousiaste en 2017, et la création d’une nouvelle série de performances Black.Art.emPowerment (12-27 avril 2019). À ne pas manquer, l’opéra algonquin Wàzakozi de l’artiste post-genre Mich Cota, la performance du duo RoyaLazyness (Luca ‘Lazylegs’ Patuelli et Roya The Destroya) ou encore le concert-performance Own your Voice de Madame Gandhi (activiste, performeuse, batteuse de M.I.A. ou de Thievery Corporation) s’annoncent comme d’autres temps forts de cette la saison, portés par des artistes qui ont le courage de s’exposer, qui prennent des risques en prenant la scène, sans se donner aucune excuse.
Communiqué de presse | MAI