Du 23 juillet au 17 août, ZH Festival revient pour une 11e édition avec de nouvelles créations en théâtre, lecture, danse, performance et cirque. Laboratoire expérimental artistique au cœur de l’été, il propose une délicieuse évasion : 22 soirées, 34 créations, plus de 200 artistes et une terrasse ouverte tous les soirs de spectacle. À l’affût des courants artistiques émergents, ZH Festival propose cette année une programmation avec des œuvres engagées, diversifiées et singulières, en vous invitant à vivre quatre semaines de découvertes au cœur du quartier Hochelaga-Maisonneuve.
Depuis plus d’une décennie, les artistes-scientifiques utilisent la plateforme de création qu’est ZH Festival pour présenter au public des projets savoureux et uniques. Le festival continue son travail de recherche et d’expérimentation avec le collage signé BOUGIE, qui nous invite à sortir des terrains battus et à défricher la savane urbaine en quête de projets fertiles et luxuriants.
COUP D’ŒIL SUR LA 11E ÉDITION
Le festival ouvre ses portes sur la quête existentielle avec la création d’Ève Landry, À GO, on criss le feu, où questionnements, monologue et nostalgie sont au rendez-vous pour commencer cette 11e édition en force. Les mêmes thèmes seront abordés le lendemain dans une création de Baobab, En survolant la mer Égée, qui sera présentée en programme double avec la création de danse de Thomas Duret, Quelque chose de chuchotant entre la gloire et le désordre.
Avec la vague de dénonciation #metoo, LES AVALANCHES de l’idéatrice Julie Artacho met de l’avant huit femmes abordant la différence subtile entre désir et agression, abus et tendresse, à travers le mouvement corporel et le théâtre. Cette performance féministe sera suivie d’une discussion animée par le groupe Je suis indestructible sur les attentats à la pudeur.
Dans le même ordre d’idées, la chorégraphe Andrea Peña signe la création Elles : work in progress, dans laquelle le thème de l’inégalité des sexes est au centre de l’interaction. Ce projet sera présenté en programme double avec Au revoir Zébu, une danse chorégraphiée et interprétée par Claudia Chan Tak, qui raconte une histoire de deuil et de couture.
Xavier Huard est de retour cette année avec un projet de monologue engagé qui repose sur l’oralité propre à la culture des Premières Nations. Huei met en scène un vieux pêcheur, chasseur et trappeur qui s’ouvre comme un livre ouvert au public et raconte sa vision du monde.
À la lumière des prévisions des scientifiques sur l’avenir de l’humanité, La Fratrie, qui fête cette année ses trois ans, présente une pièce possiblement avant-gardiste : La fin des haricots/The end of beans. Cette œuvre multidisciplinaire traite non seulement de l’angoisse face à l’apocalypse, mais aussi de notre rapport à la mort, des paradoxes ironiques de notre époque à l’égard de la crise environnementale et, par-dessus tout, de notre urgence de vivre.
Pour conclure cette édition haute en couleur, Geneviève Labelle et Mélodie Noël Brosseau dévoilent Rock Bière : Le documentaire, un projet illuminant la sous-représentation de la femme dans le monde du drag. Inclusion et non-conformité au genre seront au rendez-vous lors de cette soirée de clôture. La performance sera suivie de festivités à la saveur Club Kids, le mouvement qui a pris de l’ampleur dans les discothèques new-yorkaises à la fin des années 80. Venez découvrir votre alter ego!
Communiqué de presse | ZH Festival
Du 23 juillet au 17 août, ZH Festival revient pour une 11e édition avec de nouvelles créations en théâtre, lecture, danse, performance et cirque. Laboratoire expérimental artistique au cœur de l’été, il propose une délicieuse évasion : 22 soirées, 34 créations, plus de 200 artistes et une terrasse ouverte tous les soirs de spectacle. À l’affût des courants artistiques émergents, ZH Festival propose cette année une programmation avec des œuvres engagées, diversifiées et singulières, en vous invitant à vivre quatre semaines de découvertes au cœur du quartier Hochelaga-Maisonneuve.
Depuis plus d’une décennie, les artistes-scientifiques utilisent la plateforme de création qu’est ZH Festival pour présenter au public des projets savoureux et uniques. Le festival continue son travail de recherche et d’expérimentation avec le collage signé BOUGIE, qui nous invite à sortir des terrains battus et à défricher la savane urbaine en quête de projets fertiles et luxuriants.
COUP D’ŒIL SUR LA 11E ÉDITION
Le festival ouvre ses portes sur la quête existentielle avec la création d’Ève Landry, À GO, on criss le feu, où questionnements, monologue et nostalgie sont au rendez-vous pour commencer cette 11e édition en force. Les mêmes thèmes seront abordés le lendemain dans une création de Baobab, En survolant la mer Égée, qui sera présentée en programme double avec la création de danse de Thomas Duret, Quelque chose de chuchotant entre la gloire et le désordre.
Avec la vague de dénonciation #metoo, LES AVALANCHES de l’idéatrice Julie Artacho met de l’avant huit femmes abordant la différence subtile entre désir et agression, abus et tendresse, à travers le mouvement corporel et le théâtre. Cette performance féministe sera suivie d’une discussion animée par le groupe Je suis indestructible sur les attentats à la pudeur.
Dans le même ordre d’idées, la chorégraphe Andrea Peña signe la création Elles : work in progress, dans laquelle le thème de l’inégalité des sexes est au centre de l’interaction. Ce projet sera présenté en programme double avec Au revoir Zébu, une danse chorégraphiée et interprétée par Claudia Chan Tak, qui raconte une histoire de deuil et de couture.
Xavier Huard est de retour cette année avec un projet de monologue engagé qui repose sur l’oralité propre à la culture des Premières Nations. Huei met en scène un vieux pêcheur, chasseur et trappeur qui s’ouvre comme un livre ouvert au public et raconte sa vision du monde.
À la lumière des prévisions des scientifiques sur l’avenir de l’humanité, La Fratrie, qui fête cette année ses trois ans, présente une pièce possiblement avant-gardiste : La fin des haricots/The end of beans. Cette œuvre multidisciplinaire traite non seulement de l’angoisse face à l’apocalypse, mais aussi de notre rapport à la mort, des paradoxes ironiques de notre époque à l’égard de la crise environnementale et, par-dessus tout, de notre urgence de vivre.
Pour conclure cette édition haute en couleur, Geneviève Labelle et Mélodie Noël Brosseau dévoilent Rock Bière : Le documentaire, un projet illuminant la sous-représentation de la femme dans le monde du drag. Inclusion et non-conformité au genre seront au rendez-vous lors de cette soirée de clôture. La performance sera suivie de festivités à la saveur Club Kids, le mouvement qui a pris de l’ampleur dans les discothèques new-yorkaises à la fin des années 80. Venez découvrir votre alter ego!
Communiqué de presse | ZH Festival
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