En attendant la joie immense de retourner en salles voir des spectacles, quelques expositions sauront certainement ravir les amateurs et amatrices d’arts vivants. C’est notamment le cas de Vast Body. Mouvements infinis, présentée jusqu’au 13 février au Musée de la civilisation de Québec. Cette exposition interactive créée par les artistes Caroline Robert et Vincent Morrisset met le public en relation directe avec des danseurs et des danseuses, dont la présence est purement virtuelle, grâce à l’intelligence artificielle et aux technologies numériques : « L’installation interactive détecte les mouvements [des visiteurs et visiteuses], les analyse et elle renvoie ensuite le mouvement repéré à travers le corps d’un danseur, d’un alter ego. » Une expérience fascinante, à n’en pas douter.
En outre, commence dès aujourd’hui (et se termine le 6 février), à la galerie Le Livart, WATER.sync, un événement orchestré par l’artiste multidisciplinaire Alex Côté, qui est à la fois « une exposition collective, des installations vidéos et une performance immersive axées sur le thème de l’or bleu ». Il s’agit d’un parcours interdisciplinaire auquel ont participé de nombreux créateurs et de nombreuses créatrices, dont la performeuse autochtone Lara Kramer.
Notons qu’à partir du 17 février, le Centre PHI accueillera une œuvre signée par Brigitte Poupart et coproduite par la compagnie qu’elle dirige, Transthéâtre. Ciel à outrances, une « nouvelle expérience sonore […] immersive », réalisée à partir de textes de Madeleine Monette, est présentée comme « un voyage poétique de 45 minutes composé de cinq histoires entrelacées en marge des événements du 11 septembre 2001 ».
Pour en connaître davantage sur Vast Body. Mouvements infinis, c’est ici.
Pour en apprendre plus sur WATER.sync, c’est ici.
Pour tout savoir sur Ciel à outrances, c’est ici.
En attendant la joie immense de retourner en salles voir des spectacles, quelques expositions sauront certainement ravir les amateurs et amatrices d’arts vivants. C’est notamment le cas de Vast Body. Mouvements infinis, présentée jusqu’au 13 février au Musée de la civilisation de Québec. Cette exposition interactive créée par les artistes Caroline Robert et Vincent Morrisset met le public en relation directe avec des danseurs et des danseuses, dont la présence est purement virtuelle, grâce à l’intelligence artificielle et aux technologies numériques : « L’installation interactive détecte les mouvements [des visiteurs et visiteuses], les analyse et elle renvoie ensuite le mouvement repéré à travers le corps d’un danseur, d’un alter ego. » Une expérience fascinante, à n’en pas douter.
En outre, commence dès aujourd’hui (et se termine le 6 février), à la galerie Le Livart, WATER.sync, un événement orchestré par l’artiste multidisciplinaire Alex Côté, qui est à la fois « une exposition collective, des installations vidéos et une performance immersive axées sur le thème de l’or bleu ». Il s’agit d’un parcours interdisciplinaire auquel ont participé de nombreux créateurs et de nombreuses créatrices, dont la performeuse autochtone Lara Kramer.
Notons qu’à partir du 17 février, le Centre PHI accueillera une œuvre signée par Brigitte Poupart et coproduite par la compagnie qu’elle dirige, Transthéâtre. Ciel à outrances, une « nouvelle expérience sonore […] immersive », réalisée à partir de textes de Madeleine Monette, est présentée comme « un voyage poétique de 45 minutes composé de cinq histoires entrelacées en marge des événements du 11 septembre 2001 ».
Pour en connaître davantage sur Vast Body. Mouvements infinis, c’est ici.
Pour en apprendre plus sur WATER.sync, c’est ici.
Pour tout savoir sur Ciel à outrances, c’est ici.