En attendant le dévoilement complet de sa programmation, qui aura lieu le 22 mars prochain, le Festival TransAmériques (FTA) nous met en appétit en révélant cinq des spectacles qui nous seront proposés entre le 25 mai et le 9 juin, soit lors de son édition 2022. Les nouvelles codirectrices artistiques Jessie Mills et Martine Dennewald ont sélectionné Re : Incarnation du Nigérien Qudus Onikeku, une « grande épopée africaine » qui « sonde les profondeurs de la culture yoruba avec 2 musiciens et 10 danseur·euse·s »; Laboratoire poison, pièce de théâtre portant sur la résistance signée par la Belge Adeline Rosenstein; Make Banana Cry, une coproduction canado-française d’Andrew Tay et de Stephen Thompson s’affichant comme un « happening critique et flamboyant [visant à] déconstruire les stéréotypes »; M’appelle Mohamed Ali, un « oratorio pour 9 interprètes afrodescendant·e·s » du Théâtre de la Sentinelle; et la performance – offerte gratuitement – Holoscenes, de l’États-unien Lars Jan, une « sculpture vivante d’une vibrante poésie » qui « évoque l’effet des changements climatiques en déjouant le registre de la catastrophe ». On a hâte d’y être.
Communiqué de presse
En attendant le dévoilement complet de sa programmation, qui aura lieu le 22 mars prochain, le Festival TransAmériques (FTA) nous met en appétit en révélant cinq des spectacles qui nous seront proposés entre le 25 mai et le 9 juin, soit lors de son édition 2022. Les nouvelles codirectrices artistiques Jessie Mills et Martine Dennewald ont sélectionné Re : Incarnation du Nigérien Qudus Onikeku, une « grande épopée africaine » qui « sonde les profondeurs de la culture yoruba avec 2 musiciens et 10 danseur·euse·s »; Laboratoire poison, pièce de théâtre portant sur la résistance signée par la Belge Adeline Rosenstein; Make Banana Cry, une coproduction canado-française d’Andrew Tay et de Stephen Thompson s’affichant comme un « happening critique et flamboyant [visant à] déconstruire les stéréotypes »; M’appelle Mohamed Ali, un « oratorio pour 9 interprètes afrodescendant·e·s » du Théâtre de la Sentinelle; et la performance – offerte gratuitement – Holoscenes, de l’États-unien Lars Jan, une « sculpture vivante d’une vibrante poésie » qui « évoque l’effet des changements climatiques en déjouant le registre de la catastrophe ». On a hâte d’y être.
Communiqué de presse