C’est à l’âge de 76 ans que le metteur en scène émérite André Brassard a tiré sa dernière révérence, après des années de souffrance physique.
Celui qui a marqué le théâtre québécois comme peu d’autres l’ont fait a créé la plupart des pièces de Michel Tremblay, des Belles-Sœurs au Passé antérieur, mais aussi d’autres textes d’auteurs majeurs tels que Michel Marc Bouchard (Les Feluettes, Les Muses orphelines), Normand Chaurette (Les Reines) et Olivier Choinière (Autodafé), en plus de revisiter des classiques (Genet, Shakespeare, Miller, Corneille, Tchekhov, Dubé, Beckett…). Il a, en outre, réalisé des films qui dont partie intégrante du patrimoine culturel québécois, dont Il était une fois dans l’Est et Le Soleil se lève en retard.
Celui qui a dirigé le Théâtre français du Centre national des arts d’Ottawa de 1983 à 1989, puis la section francophone de l’École nationale de théâtre du Canada de 1991 à 2000 laisse un legs immense, une empreinte indélébile, un apport unique et inoubliable.
C’est à l’âge de 76 ans que le metteur en scène émérite André Brassard a tiré sa dernière révérence, après des années de souffrance physique.
Celui qui a marqué le théâtre québécois comme peu d’autres l’ont fait a créé la plupart des pièces de Michel Tremblay, des Belles-Sœurs au Passé antérieur, mais aussi d’autres textes d’auteurs majeurs tels que Michel Marc Bouchard (Les Feluettes, Les Muses orphelines), Normand Chaurette (Les Reines) et Olivier Choinière (Autodafé), en plus de revisiter des classiques (Genet, Shakespeare, Miller, Corneille, Tchekhov, Dubé, Beckett…). Il a, en outre, réalisé des films qui dont partie intégrante du patrimoine culturel québécois, dont Il était une fois dans l’Est et Le Soleil se lève en retard.
Celui qui a dirigé le Théâtre français du Centre national des arts d’Ottawa de 1983 à 1989, puis la section francophone de l’École nationale de théâtre du Canada de 1991 à 2000 laisse un legs immense, une empreinte indélébile, un apport unique et inoubliable.