De jeunes créatrices se regroupent autour de projets ou de structures pour faire entendre leur voix et tracer leur route. Regard sur trois initiatives féministes nées d’une nécessité, mais qui ont débouché sur des pratiques revendiquées.
Les Femmes pour l’Équité en Théâtre (F.E.T.), qui se réunissaient pour la première fois en novembre 2016, ont souligné à grands traits les inégalités persistantes entre créatrices et créateurs, celles-là moins représentées dans les théâtres institutionnels, moins visibles, moins bien rémunérées que leurs confrères (voir le Coup de gueule des F.E.T. « Apprendre à compter » dans JEU 164, 2017.3, p. 11.). Grâce aux actions menées par le regroupement, plus d’autrices, de metteuses en scène, de conceptrices apparaissent dans les programmations des différentes salles. Malgré cela, pour les jeunes artistes, qu’elles sortent ou non des écoles, les défis restent de taille pour se faire une place.
Espace de liberté et de contraintes
Le collectif féministe Les Bénés, qui a vu le jour en 2015, regroupe des femmes et des personnes non binaires (actrices, conceptrices, performeuses…) diplômées d’institutions ou autodidactes. « Je pensais naïvement à cette époque qu’on sortait de l’école et qu’on faisait du théâtre », confie sa fondatrice, Virginie Ouellet, dite Béné Courage…
(Le sujet vous intéresse? Lisez la suite dans JEU 185.)
De jeunes créatrices se regroupent autour de projets ou de structures pour faire entendre leur voix et tracer leur route. Regard sur trois initiatives féministes nées d’une nécessité, mais qui ont débouché sur des pratiques revendiquées.
Les Femmes pour l’Équité en Théâtre (F.E.T.), qui se réunissaient pour la première fois en novembre 2016, ont souligné à grands traits les inégalités persistantes entre créatrices et créateurs, celles-là moins représentées dans les théâtres institutionnels, moins visibles, moins bien rémunérées que leurs confrères (voir le Coup de gueule des F.E.T. « Apprendre à compter » dans JEU 164, 2017.3, p. 11.). Grâce aux actions menées par le regroupement, plus d’autrices, de metteuses en scène, de conceptrices apparaissent dans les programmations des différentes salles. Malgré cela, pour les jeunes artistes, qu’elles sortent ou non des écoles, les défis restent de taille pour se faire une place.
Espace de liberté et de contraintes
Le collectif féministe Les Bénés, qui a vu le jour en 2015, regroupe des femmes et des personnes non binaires (actrices, conceptrices, performeuses…) diplômées d’institutions ou autodidactes. « Je pensais naïvement à cette époque qu’on sortait de l’école et qu’on faisait du théâtre », confie sa fondatrice, Virginie Ouellet, dite Béné Courage…
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