Emballante programmation 2023-2024 dévoilée cette semaine par le Théâtre Aux Écuries, où se succéderont théâtre documentaire, autofiction, musée-laboratoire, cabaret et conte scénique en « une saison empreinte de fêtes, de vision romantique délavée, de récits d’effondrement, de vertiges existentiels, de désirs de réparation ».
Le tout s’amorce du 19 au 30 septembre avec Providencia, une comédie de Mariana Tayler mise en scène par Marie Farsi, où les funérailles d’une matriarche occasionnent une réunion familiale intense et festive. En octobre, du 17 au 28, la compagnie Pirata Théâtre présente le troisième volet de sa trilogie sur l’effondrement du vivent intitulée « le cycle de la collapsologie », L’Espèce fabulatrice : des personnes ayant en commun d’avoir vécu un effondrement tentent d’y donner un sens en « consignant effondrement écologique et composition artistique ». Le tout est dirigé par Michèle Parent, avec la complicité de Marie-Ève Fortier et d’Andréanne Deschênes.
Du 30 novembre au 9 décembre, le Théâtre Everest, fondé et dirigé par les sœurs Chloé et Jade Barshee, offrira Dernière Frontière, où se marient théâtre documentaire, cabaret, théâtre d’ombre, drag, vidéoprojection et musique live, une œuvre créée par des artistes du Québec et du Yukon visant à « démystifier notre rapport romantique à la nordicité ».
En janvier suivra un spectacle du Théâtre du Renard, à saveur scientifique, La Rébellion du minuscule, « un voyage vers l’infiniment petit » s’inspirant de la physique quantique, un texte d’Antonia Leney-Granger, qui y joue également, mis en scène par Évelyne Laniel. Février verra le retour du Théâtre I.N.K. avec Maelström, insertion dans une étrange communauté, « dans cette période de notre évolution où l’être humain est appelé à toujours se poser mille questions tout en ayant l’air parfaitement heureux tout le temps ». Puis celui, en mars, du Théâtre de la Pire Espèce, avec Mon conte de feu, à vélo entre les bombes qui tombent, un récit inspiré du journal de Felix Mirbt écrit et mis en scène par Francis Monty.
La saison se terminera par le festival Les Autochtoneries d’Aux Écuries, commissionné par les Productions Menuentakuan, mettant à l’affiche six spectacles du 11 au 21 avril 2024.
Pour plus d’information, consulter le site : auxecuries.com
Emballante programmation 2023-2024 dévoilée cette semaine par le Théâtre Aux Écuries, où se succéderont théâtre documentaire, autofiction, musée-laboratoire, cabaret et conte scénique en « une saison empreinte de fêtes, de vision romantique délavée, de récits d’effondrement, de vertiges existentiels, de désirs de réparation ».
Le tout s’amorce du 19 au 30 septembre avec Providencia, une comédie de Mariana Tayler mise en scène par Marie Farsi, où les funérailles d’une matriarche occasionnent une réunion familiale intense et festive. En octobre, du 17 au 28, la compagnie Pirata Théâtre présente le troisième volet de sa trilogie sur l’effondrement du vivent intitulée « le cycle de la collapsologie », L’Espèce fabulatrice : des personnes ayant en commun d’avoir vécu un effondrement tentent d’y donner un sens en « consignant effondrement écologique et composition artistique ». Le tout est dirigé par Michèle Parent, avec la complicité de Marie-Ève Fortier et d’Andréanne Deschênes.
Du 30 novembre au 9 décembre, le Théâtre Everest, fondé et dirigé par les sœurs Chloé et Jade Barshee, offrira Dernière Frontière, où se marient théâtre documentaire, cabaret, théâtre d’ombre, drag, vidéoprojection et musique live, une œuvre créée par des artistes du Québec et du Yukon visant à « démystifier notre rapport romantique à la nordicité ».
En janvier suivra un spectacle du Théâtre du Renard, à saveur scientifique, La Rébellion du minuscule, « un voyage vers l’infiniment petit » s’inspirant de la physique quantique, un texte d’Antonia Leney-Granger, qui y joue également, mis en scène par Évelyne Laniel. Février verra le retour du Théâtre I.N.K. avec Maelström, insertion dans une étrange communauté, « dans cette période de notre évolution où l’être humain est appelé à toujours se poser mille questions tout en ayant l’air parfaitement heureux tout le temps ». Puis celui, en mars, du Théâtre de la Pire Espèce, avec Mon conte de feu, à vélo entre les bombes qui tombent, un récit inspiré du journal de Felix Mirbt écrit et mis en scène par Francis Monty.
La saison se terminera par le festival Les Autochtoneries d’Aux Écuries, commissionné par les Productions Menuentakuan, mettant à l’affiche six spectacles du 11 au 21 avril 2024.
Pour plus d’information, consulter le site : auxecuries.com