Le conseil d’administration et l’équipe du Théâtre la Catapulte annoncent la nomination de Danielle Le Saux-Farmer au poste de directrice artistique et codirectrice générale de la compagnie.
Après une période de transition à l’automne, elle succèdera à Jean Stéphane Roy, devenant ainsi la première femme à prendre en main les destinées artistiques de la compagnie.
Originaire d’Ottawa, Danielle est diplômée de l’Université d’Ottawa en théâtre et du Conservatoire d’art dramatique de Québec en interprétation. Elle reste ensuite « là où le fleuve se rétrécit » et y mène sa carrière, sans jamais perdre de vue sa ville natale, qu’elle retrouvera à la fin de l’été. En plus d’occuper le poste de directrice artistique, Danielle agira à titre de codirection générale avec la directrice administrative Sibylle Berger, assurant ainsi une continuité au sein de l’organigramme de la compagnie.
Très enthousiaste à l’idée de ce nouveau défi, Danielle nous livre ce message : « Le Théâtre la Catapulte est un espace de liberté artistique unique dans les paysages culturels franco-ontarien et canadien. Depuis sa fondation, ses créations sont systématiquement surprenantes, audacieuses et empreintes de ludisme et de poésie. Son engagement auprès de ses publics est infatigable et représente une de ses assises les plus importantes, assise qui assure sa pertinence dans une société en pleine mutation. »
Elle ajoute : « Je suis habitée par une envie profonde de créer des œuvres novatrices et de proposer des histoires inventives dans cette structure dont la réputation n’est plus à faire. Tout comme mes prédécesseurs, la création théâtrale dans toutes ses permutations sera au cœur de ma démarche. Je proposerai ainsi un théâtre de facture contemporaine et participerai à l’émergence d’une dramaturgie qui reflète la société qu’elle tente de raconter. Je veux surtout percevoir et voir la population plurielle d’Ottawa et de l’Ontario français en filigrane aux œuvres proposées, et entendre les voix diverses d’un peuple, d’une communauté et d’une ville qui s’élèvent pour affirmer, revendiquer et festoyer. Pour ce faire, je proposerai des œuvres qui chavirent, remettent en question, éveillent et enchantent les publics. »
Le conseil d’administration et l’équipe du Théâtre la Catapulte annoncent la nomination de Danielle Le Saux-Farmer au poste de directrice artistique et codirectrice générale de la compagnie.
Après une période de transition à l’automne, elle succèdera à Jean Stéphane Roy, devenant ainsi la première femme à prendre en main les destinées artistiques de la compagnie.
Originaire d’Ottawa, Danielle est diplômée de l’Université d’Ottawa en théâtre et du Conservatoire d’art dramatique de Québec en interprétation. Elle reste ensuite « là où le fleuve se rétrécit » et y mène sa carrière, sans jamais perdre de vue sa ville natale, qu’elle retrouvera à la fin de l’été. En plus d’occuper le poste de directrice artistique, Danielle agira à titre de codirection générale avec la directrice administrative Sibylle Berger, assurant ainsi une continuité au sein de l’organigramme de la compagnie.
Très enthousiaste à l’idée de ce nouveau défi, Danielle nous livre ce message : « Le Théâtre la Catapulte est un espace de liberté artistique unique dans les paysages culturels franco-ontarien et canadien. Depuis sa fondation, ses créations sont systématiquement surprenantes, audacieuses et empreintes de ludisme et de poésie. Son engagement auprès de ses publics est infatigable et représente une de ses assises les plus importantes, assise qui assure sa pertinence dans une société en pleine mutation. »
Elle ajoute : « Je suis habitée par une envie profonde de créer des œuvres novatrices et de proposer des histoires inventives dans cette structure dont la réputation n’est plus à faire. Tout comme mes prédécesseurs, la création théâtrale dans toutes ses permutations sera au cœur de ma démarche. Je proposerai ainsi un théâtre de facture contemporaine et participerai à l’émergence d’une dramaturgie qui reflète la société qu’elle tente de raconter. Je veux surtout percevoir et voir la population plurielle d’Ottawa et de l’Ontario français en filigrane aux œuvres proposées, et entendre les voix diverses d’un peuple, d’une communauté et d’une ville qui s’élèvent pour affirmer, revendiquer et festoyer. Pour ce faire, je proposerai des œuvres qui chavirent, remettent en question, éveillent et enchantent les publics. »