Après avoir reçu, il y a un mois au Japon, deux prix Kinokuniya, la production québéco-japonaise de la pièce Le Fusil de Chasse, mise en scène par François Girard, est maintenant lauréate du Yumiori de la meilleure production théâtrale de l’année au Japon. Le quotidien Le Devoir rapporte aussi que «la comédienne Miki Nakatani recevra le prix de la meilleure interprète féminine. L’ingénieux dispositif scénique interchangeable et les éclairages en demi-teintes ont valu respectivement à François Séguin et à David Finn les prix de la meilleure scénographie et des meilleurs éclairages pour une production théâtrale.»
Rappelons que dans Le Fusil de Chasse, adapté d’un roman de Yashushi Inoué, «un poète nous raconte sa rencontre fortuite avec un inconnu, un dénommé Josuke Misagi -homme d’affaires solitaire et chasseur- qui lui a confié trois lettres reçues quelque temps avant leur première rencontre, sur le sentier du mont Amagi. La première lettre est écrite par la fille de sa maîtresse, Shoko. La deuxième lettre est de sa femme, Midori, qu’il a trompée et délaissée. La troisième lettre est de sa maîtresse, Saïko. Au fur et à mesure que le poète en découvre le contenu, la vérité la plus crue vient envahir le plateau et les sentiments y sont exposés avec une douceur infinie.»
Après avoir reçu, il y a un mois au Japon, deux prix Kinokuniya, la production québéco-japonaise de la pièce Le Fusil de Chasse, mise en scène par François Girard, est maintenant lauréate du Yumiori de la meilleure production théâtrale de l’année au Japon. Le quotidien Le Devoir rapporte aussi que «la comédienne Miki Nakatani recevra le prix de la meilleure interprète féminine. L’ingénieux dispositif scénique interchangeable et les éclairages en demi-teintes ont valu respectivement à François Séguin et à David Finn les prix de la meilleure scénographie et des meilleurs éclairages pour une production théâtrale.»
Rappelons que dans Le Fusil de Chasse, adapté d’un roman de Yashushi Inoué, «un poète nous raconte sa rencontre fortuite avec un inconnu, un dénommé Josuke Misagi -homme d’affaires solitaire et chasseur- qui lui a confié trois lettres reçues quelque temps avant leur première rencontre, sur le sentier du mont Amagi. La première lettre est écrite par la fille de sa maîtresse, Shoko. La deuxième lettre est de sa femme, Midori, qu’il a trompée et délaissée. La troisième lettre est de sa maîtresse, Saïko. Au fur et à mesure que le poète en découvre le contenu, la vérité la plus crue vient envahir le plateau et les sentiments y sont exposés avec une douceur infinie.»