Le Théâtre Périscope aura 30 ans le 26 mars prochain. Pour la première fois de son histoire, ce théâtre (dont le mandat premier est la diffusion) produira un spectacle et une tournée.
La saison 2015-2016 débutera donc le 8 septembre avec Vinci, un texte de Robert Lepage, dans une nouvelle mise en scène de Pierre Philippe Guay et Frédéric Dubois.
Présenté lors de la saison inaugurale du Périscope — alors l’Implanthéâtre —, en 1985-1986, la pièce occupe une place marquante dans l’histoire du théâtre. Il est donc pertinent, 30 ans plus tard, de revoir ce texte à travers les yeux d’une nouvelle génération de créateurs, tout en célébrant l’œuvre de Lepage.
Une nouvelle mouture de Vinci sera présentée au Périscope, avant de partir en tournée dans plus de 15 villes de la province. Olivier Normand interprètera le rôle de Philippe, artiste en quête de sens dans le fouillis de sa vie, perturbé par la mort d’un proche, et Pierre Philippe Guay, acteur et assistant de Robert Lepage en 1985 lors de la création de Vinci au Quat’Sous, lui donnera la réplique.
Philippe est un photographe. Un bon photographe, mais meilleur technicien qu’artiste. En fait, il ne le sait plus. Il est arrivé à un tournant de sa vie où tout semble lui échapper. Sa dernière exposition a été un vide monumental et, comble de malheur, son frère, cinéaste, vient de mourir. Son frère, son double, son miroir. Poussé par ses amis et son thérapeute, il s’envole vers l’Europe et là, sans trop savoir pourquoi, Leonard de Vinci, par son œuvre et par plusieurs autres moyens détournés, entrera dans sa vie. Comment alors trouver sa place devant un tel génie? Passant de Londres à Paris, à Cannes, jusqu’à Vinci, la ville natale du maître de la Renaissance, Philippe refera son chemin, essaiera, en tout cas, de retrouver un peu de lumière.
Un prix unique
La saison 2015-2016 s’amorce sur une nouveauté en termes de tarification : le prix unique. Les billets de spectacle achetés en prévente se détailleront à 22 $. Ils grimperont à 35 $ une fois le spectacle en cours. Cette nouvelle tarification est tout à fait cohérente avec la ligne de pensée du Théâtre Périscope : l’ouverture. Ayant au cœur de ses préoccupations d’inviter, de convier, d’intéresser la population au théâtre et de montrer que le théâtre de création est pour tout le monde, le Périscope coordonne sa grille de prix avec ce qui lui tient à cœur : un théâtre pour tous, un prix pour tous.
Du théâtre le samedi après-midi
Dans la foulée des changements, les représentations du samedi seront désormais présentées à 16 h, plutôt qu’à 20 h. Ainsi, l’équipe du Périscope souhaite s’adapter aux nouvelles habitudes de vie des spectateurs de plus en plus sollicités le samedi soir et répondre à la demande grandissante du public d’assister à des représentations en après-midi. Ce changement d’horaire sera effectif dès la rentrée de septembre.
Le Théâtre Périscope aura 30 ans le 26 mars prochain. Pour la première fois de son histoire, ce théâtre (dont le mandat premier est la diffusion) produira un spectacle et une tournée.
La saison 2015-2016 débutera donc le 8 septembre avec Vinci, un texte de Robert Lepage, dans une nouvelle mise en scène de Pierre Philippe Guay et Frédéric Dubois.
Présenté lors de la saison inaugurale du Périscope — alors l’Implanthéâtre —, en 1985-1986, la pièce occupe une place marquante dans l’histoire du théâtre. Il est donc pertinent, 30 ans plus tard, de revoir ce texte à travers les yeux d’une nouvelle génération de créateurs, tout en célébrant l’œuvre de Lepage.
Une nouvelle mouture de Vinci sera présentée au Périscope, avant de partir en tournée dans plus de 15 villes de la province. Olivier Normand interprètera le rôle de Philippe, artiste en quête de sens dans le fouillis de sa vie, perturbé par la mort d’un proche, et Pierre Philippe Guay, acteur et assistant de Robert Lepage en 1985 lors de la création de Vinci au Quat’Sous, lui donnera la réplique.
Philippe est un photographe. Un bon photographe, mais meilleur technicien qu’artiste. En fait, il ne le sait plus. Il est arrivé à un tournant de sa vie où tout semble lui échapper. Sa dernière exposition a été un vide monumental et, comble de malheur, son frère, cinéaste, vient de mourir. Son frère, son double, son miroir. Poussé par ses amis et son thérapeute, il s’envole vers l’Europe et là, sans trop savoir pourquoi, Leonard de Vinci, par son œuvre et par plusieurs autres moyens détournés, entrera dans sa vie. Comment alors trouver sa place devant un tel génie? Passant de Londres à Paris, à Cannes, jusqu’à Vinci, la ville natale du maître de la Renaissance, Philippe refera son chemin, essaiera, en tout cas, de retrouver un peu de lumière.
Un prix unique
La saison 2015-2016 s’amorce sur une nouveauté en termes de tarification : le prix unique. Les billets de spectacle achetés en prévente se détailleront à 22 $. Ils grimperont à 35 $ une fois le spectacle en cours. Cette nouvelle tarification est tout à fait cohérente avec la ligne de pensée du Théâtre Périscope : l’ouverture. Ayant au cœur de ses préoccupations d’inviter, de convier, d’intéresser la population au théâtre et de montrer que le théâtre de création est pour tout le monde, le Périscope coordonne sa grille de prix avec ce qui lui tient à cœur : un théâtre pour tous, un prix pour tous.
Du théâtre le samedi après-midi
Dans la foulée des changements, les représentations du samedi seront désormais présentées à 16 h, plutôt qu’à 20 h. Ainsi, l’équipe du Périscope souhaite s’adapter aux nouvelles habitudes de vie des spectateurs de plus en plus sollicités le samedi soir et répondre à la demande grandissante du public d’assister à des représentations en après-midi. Ce changement d’horaire sera effectif dès la rentrée de septembre.