À sa toute première édition, le prix Jovette-Marchessault est décerné à la metteuse en scène Catherine Vidal.
Ce nouveau prix, remis par le Conseil des arts de Montréal et mis sur pied dans la foulée du chantier féministe tenu à Espace GO en 2019, vise à souligner la contribution de femmes de théâtre montréalaises. Catherine Vidal s’est fait connaître avec une adaptation théâtrale inspirée du roman Le Grand Cahier d’Agota Kristof au Théâtre de Quat’Sous en 2009. Elle a, depuis, offert plusieurs lectures scéniques marquantes de pièces tirées d’un répertoire varié, avec notamment, ces dernières années : Je disparais d’Arne Lygre (Théâtre Prospero, 2017), Chapitre de la chute de Stefano Massini, codirigé avec Marc Beaupré (Théâtre de Quat’Sous, 2018, prix du « meilleur spectacle », AQCT Montréal), L’Idiot de Dostoïevski (Théâtre du Nouveau Monde, 2018) et Les Amoureux de Goldoni (Théâtre Denise-Pelletier, 2018).
Le prix est doté d’une bourse de 20 000 $. Catherine Bourgeois et Pol Pelletier étaient aussi finalistes.
À sa toute première édition, le prix Jovette-Marchessault est décerné à la metteuse en scène Catherine Vidal.
Ce nouveau prix, remis par le Conseil des arts de Montréal et mis sur pied dans la foulée du chantier féministe tenu à Espace GO en 2019, vise à souligner la contribution de femmes de théâtre montréalaises. Catherine Vidal s’est fait connaître avec une adaptation théâtrale inspirée du roman Le Grand Cahier d’Agota Kristof au Théâtre de Quat’Sous en 2009. Elle a, depuis, offert plusieurs lectures scéniques marquantes de pièces tirées d’un répertoire varié, avec notamment, ces dernières années : Je disparais d’Arne Lygre (Théâtre Prospero, 2017), Chapitre de la chute de Stefano Massini, codirigé avec Marc Beaupré (Théâtre de Quat’Sous, 2018, prix du « meilleur spectacle », AQCT Montréal), L’Idiot de Dostoïevski (Théâtre du Nouveau Monde, 2018) et Les Amoureux de Goldoni (Théâtre Denise-Pelletier, 2018).
Le prix est doté d’une bourse de 20 000 $. Catherine Bourgeois et Pol Pelletier étaient aussi finalistes.