Autre bonheur de cette rentrée culturelle unique : le public peut enfin renouer avec la danse. L’Agora de la danse propose cet automne deux solos.
Punch Line, de Jacques Poulin-Denis, rassemble mots et mouvements en un spectacle hybride librement inspiré de la formule du one-man show, tandis que Se dissoudre, conçu par Catherine Gaudet et interprété par Marie-Philippe Santerre, varie les rythmes afin d’explorer le phénomène de la transformation.
S’ajoute à cette programmation, au Café-bar du Wilder, une exposition de photographies prises dans la Métropole durant l’accalmie forcée du confinement par nulle autre de la conceptrice d’éclairages émérite Lucie Bazzo. Ses œuvres sont accompagnées de textes signés par l’autrice Lise Vaillancourt.
Autre bonheur de cette rentrée culturelle unique : le public peut enfin renouer avec la danse. L’Agora de la danse propose cet automne deux solos.
Punch Line, de Jacques Poulin-Denis, rassemble mots et mouvements en un spectacle hybride librement inspiré de la formule du one-man show, tandis que Se dissoudre, conçu par Catherine Gaudet et interprété par Marie-Philippe Santerre, varie les rythmes afin d’explorer le phénomène de la transformation.
S’ajoute à cette programmation, au Café-bar du Wilder, une exposition de photographies prises dans la Métropole durant l’accalmie forcée du confinement par nulle autre de la conceptrice d’éclairages émérite Lucie Bazzo. Ses œuvres sont accompagnées de textes signés par l’autrice Lise Vaillancourt.