Comme la créativité est l’essence même du Festival Phénomena, le public sera ravi, certes, mais peu étonné de constater que la programmation de son édition 2020, construite autour du thème de la résilience, est aussi diversifiée et riche qu’adaptée à la situation actuelle.
Du 3 au 23 octobre, amants et amantes des arts vivants auront accès à deux productions extérieures, à un parcours déambulatoire (narré par Christian Vanasse et ponctué de tableaux lumineux signés Lucie Bazzo), à deux spectacles (un de la troupe Cirquantique et un du conteur Michel Faubert) filmés et diffusés en ligne, ainsi qu’à plusieurs courts-métrages élaborés par des artistes tels Stéphane Crête et Marcelle Hudon.
Et qu’en est-il de la traditionnelle Parade Phénoménale ? Elle est remplacée par une invitation à aller danser, en tout respect de la distanciation sociale de circonstance, au parc Baldwin, en revêtant ses atours les plus abracadabrants.
Comme la créativité est l’essence même du Festival Phénomena, le public sera ravi, certes, mais peu étonné de constater que la programmation de son édition 2020, construite autour du thème de la résilience, est aussi diversifiée et riche qu’adaptée à la situation actuelle.
Du 3 au 23 octobre, amants et amantes des arts vivants auront accès à deux productions extérieures, à un parcours déambulatoire (narré par Christian Vanasse et ponctué de tableaux lumineux signés Lucie Bazzo), à deux spectacles (un de la troupe Cirquantique et un du conteur Michel Faubert) filmés et diffusés en ligne, ainsi qu’à plusieurs courts-métrages élaborés par des artistes tels Stéphane Crête et Marcelle Hudon.
Et qu’en est-il de la traditionnelle Parade Phénoménale ? Elle est remplacée par une invitation à aller danser, en tout respect de la distanciation sociale de circonstance, au parc Baldwin, en revêtant ses atours les plus abracadabrants.