C’est par un parcours déambulatoire performatif pour un spectateur ou une spectatrice à la fois, Walking: Holding de l’artiste écossaise Rosana Cade, que s’entamera, dès la semaine prochaine, la toute première programmation élaborée par le nouveau directeur artistique du Théâtre Prospero, Philippe Cyr, qui mettra lui-même en scène, plus tard dans la saison, Insoutenables longues étreintes du dramaturge russe Ivan Viripaev. S’y ajouteront, entre autres, Mademoiselle Agnès, une adaptation contemporaine du Misanthrope de Molière signée par l’autrice allemande Rebekka Kricheldorf, Sur l’apparition des os dans le corps de Gabriel Plante, Si vous voulez de la lumière, une relecture du Faust de Goethe coécrite par « une douzaine de dramaturges francophones originaires de quatre continents » (dont Émilie Monnet et Guy Régie Jr) et orchestrée par Florent Siaud, ainsi que la toute première mise en scène de la chorégraphe Mélanie Demers : Déclarations de Jordan Tannahill.
C’est par un parcours déambulatoire performatif pour un spectateur ou une spectatrice à la fois, Walking: Holding de l’artiste écossaise Rosana Cade, que s’entamera, dès la semaine prochaine, la toute première programmation élaborée par le nouveau directeur artistique du Théâtre Prospero, Philippe Cyr, qui mettra lui-même en scène, plus tard dans la saison, Insoutenables longues étreintes du dramaturge russe Ivan Viripaev. S’y ajouteront, entre autres, Mademoiselle Agnès, une adaptation contemporaine du Misanthrope de Molière signée par l’autrice allemande Rebekka Kricheldorf, Sur l’apparition des os dans le corps de Gabriel Plante, Si vous voulez de la lumière, une relecture du Faust de Goethe coécrite par « une douzaine de dramaturges francophones originaires de quatre continents » (dont Émilie Monnet et Guy Régie Jr) et orchestrée par Florent Siaud, ainsi que la toute première mise en scène de la chorégraphe Mélanie Demers : Déclarations de Jordan Tannahill.