Le 17e Festival TransAmériques se prépare à composer les archives du futur avec des créateurs et des créatrices qui revendiquent identités, territoires et échanges interplanétaires. Du 24 mai au 8 juin 2023, le FTA fera une large place aux artistes contemporains issus des Premiers peuples.
Les codirectrices artistiques Martine Dennewald et Jessie Mill disent ainsi encourager les quêtes d’émancipation à travers le monde.
« Qu’arrive-t-il si nous tendons l’oreille au-delà des mots ? Que nous racontent les corps ? Quelles mémoires nous révèlent-ils ? Quelles sont les histoires qui manquent à l’appel ? », demandent-elles.
Le festival présentera cette année 24 spectacles venus de 21 pays, dont cinq coproductions, quatre premières mondiales et neuf premières nord-américaines.
Des artistes d’origine sámie (Elle Sofe Sara), inuite (Vinnie Karetak + Laakkuluk Williamson Bathory), oglala lakota (Cliff Cardinal), quechua (Tiziano Cruz), mapuche (Malicho Vaca Valenzuela) et amazighe (Radouan Mriziga) viendront présenter leur travail au public montréalais, plusieurs pour la toute première fois. Une Journée d’écologie décoloniale est aussi prévue durant l’événement.
Artistes réputé∙es
Le 17e FTA célèbrera la venue ou le retour de grand∙es créateurs et créatrices comme Gisèle Vienne, Dana Gingras, Oona Doherty, Okwui Okpokwasili Dana Michel, Angela Konrad, Back to Back Theatre, Lia Rodrigues, Sarah Vahnee, Rosana Cade + Ivor MacAskill et Nora Chipaumire.
Les artistes québécois∙es ne sont jamais en reste au FTA. En seront les compagnies Joe Jack et John ainsi que L’Eau du bain, Ellen Furey et Dominique Leclerc.
Le 24 mai, en ouverture, la chorégraphe sámie Elle Sofe Sara guidera les festivalier·ères de l’Esplanade Tranquille jusqu’au Monument-national avec La réponse est le territoire, un « concert chorégraphique ».
La vente des forfaits de plusieurs spectacles commence aujourd’hui, tandis que les billets à l’unité seront disponibles dès le 28 mars.
Le 17e Festival TransAmériques se prépare à composer les archives du futur avec des créateurs et des créatrices qui revendiquent identités, territoires et échanges interplanétaires. Du 24 mai au 8 juin 2023, le FTA fera une large place aux artistes contemporains issus des Premiers peuples.
Les codirectrices artistiques Martine Dennewald et Jessie Mill disent ainsi encourager les quêtes d’émancipation à travers le monde.
« Qu’arrive-t-il si nous tendons l’oreille au-delà des mots ? Que nous racontent les corps ? Quelles mémoires nous révèlent-ils ? Quelles sont les histoires qui manquent à l’appel ? », demandent-elles.
Le festival présentera cette année 24 spectacles venus de 21 pays, dont cinq coproductions, quatre premières mondiales et neuf premières nord-américaines.
Des artistes d’origine sámie (Elle Sofe Sara), inuite (Vinnie Karetak + Laakkuluk Williamson Bathory), oglala lakota (Cliff Cardinal), quechua (Tiziano Cruz), mapuche (Malicho Vaca Valenzuela) et amazighe (Radouan Mriziga) viendront présenter leur travail au public montréalais, plusieurs pour la toute première fois. Une Journée d’écologie décoloniale est aussi prévue durant l’événement.
Artistes réputé∙es
Le 17e FTA célèbrera la venue ou le retour de grand∙es créateurs et créatrices comme Gisèle Vienne, Dana Gingras, Oona Doherty, Okwui Okpokwasili Dana Michel, Angela Konrad, Back to Back Theatre, Lia Rodrigues, Sarah Vahnee, Rosana Cade + Ivor MacAskill et Nora Chipaumire.
Les artistes québécois∙es ne sont jamais en reste au FTA. En seront les compagnies Joe Jack et John ainsi que L’Eau du bain, Ellen Furey et Dominique Leclerc.
Le 24 mai, en ouverture, la chorégraphe sámie Elle Sofe Sara guidera les festivalier·ères de l’Esplanade Tranquille jusqu’au Monument-national avec La réponse est le territoire, un « concert chorégraphique ».
La vente des forfaits de plusieurs spectacles commence aujourd’hui, tandis que les billets à l’unité seront disponibles dès le 28 mars.