Dévoilée la semaine dernière, la programmation 2023-2024 de l’Usine C contient quelques perles incontournables, à commencer par deux œuvres mises en scène par la nouvelle directrice générale et artistique, Angela Konrad, qui signe sa première saison.
Dès le 5 septembre et jusqu’au 16, sa version théâtrale du roman de Larry Tremblay, Tableau final de l’amour, revient dans la salle 2, après avoir été créée en mai et reprise au Festival TransAmériques en juin. L’œuvre, adaptée par son auteur, met en vedette Benoît McGinnis et Samuel Côté, dans les rôles du peintre Francis Bacon et de son amant, George Dyer, dont la relation amoureuse et artistique se révèle sulfureuse et radicale.
La metteuse en scène, qui n’hésite pas à porter au théâtre de grandes œuvres romanesques, comme la version intégrale des trois tomes du Vernon Subutex de Virginie Despentes, qui clôturera cette saison du 30 avril au 18 mai 2024, dirigera également une lecture-spectacle de Que notre joie demeure, du jeune romancier Kevin Lambert, les 24 et 25 septembre prochain, dans le cadre du Festival international de la littérature.
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Stations de Louise Lecavalier © André Cornellier
Plusieurs spectacles feront l’objet de deux ou trois représentations, comme les reprises de Stations de Louise Lecavalier, de Confession publique de Mélanie Demers, avec Angélique Wilkie, et de Féministe pour hommes, d’Alix Dufresne et Noémie de Lattre, avec Sophie Cadieux, et amèneront des artistes marquant·es d’outre-Atlantique, comme Martin Crimp, The Tiger Lilies, Angélica Liddell, et la comédienne française Dominique Blanc dans un hommage à Marguerite Duras.
À signaler aussi, le Cabaret accents queer de Samuel Larochelle et des discussions publiques sur l’identité de genre et les « tramavertissements » dans les arts vivants, organisé en collaboration avec le magazine Spirale.
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Dévoilée la semaine dernière, la programmation 2023-2024 de l’Usine C contient quelques perles incontournables, à commencer par deux œuvres mises en scène par la nouvelle directrice générale et artistique, Angela Konrad, qui signe sa première saison.
Dès le 5 septembre et jusqu’au 16, sa version théâtrale du roman de Larry Tremblay, Tableau final de l’amour, revient dans la salle 2, après avoir été créée en mai et reprise au Festival TransAmériques en juin. L’œuvre, adaptée par son auteur, met en vedette Benoît McGinnis et Samuel Côté, dans les rôles du peintre Francis Bacon et de son amant, George Dyer, dont la relation amoureuse et artistique se révèle sulfureuse et radicale.
La metteuse en scène, qui n’hésite pas à porter au théâtre de grandes œuvres romanesques, comme la version intégrale des trois tomes du Vernon Subutex de Virginie Despentes, qui clôturera cette saison du 30 avril au 18 mai 2024, dirigera également une lecture-spectacle de Que notre joie demeure, du jeune romancier Kevin Lambert, les 24 et 25 septembre prochain, dans le cadre du Festival international de la littérature.
Stations de Louise Lecavalier © André Cornellier
Plusieurs spectacles feront l’objet de deux ou trois représentations, comme les reprises de Stations de Louise Lecavalier, de Confession publique de Mélanie Demers, avec Angélique Wilkie, et de Féministe pour hommes, d’Alix Dufresne et Noémie de Lattre, avec Sophie Cadieux, et amèneront des artistes marquant·es d’outre-Atlantique, comme Martin Crimp, The Tiger Lilies, Angélica Liddell, et la comédienne française Dominique Blanc dans un hommage à Marguerite Duras.
À signaler aussi, le Cabaret accents queer de Samuel Larochelle et des discussions publiques sur l’identité de genre et les « tramavertissements » dans les arts vivants, organisé en collaboration avec le magazine Spirale.
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