En cette rentrée théâtrale foisonnante, les dévoilements de programmations 2023-2024 se succèdent, avec leurs multiples promesses. À Québec, le Périscope s’est donné pour thème « Donnons lieu » : « Alors qu’une partie de plus en plus importante de nos vies se déroule en ligne, il y a un courage indéniable dans l’acte d’aller au théâtre », écrivent les codirecteurs artistiques, Gabrielle Ferron et Samuel Corbeil.
Du 19 septembre au 7 octobre, Avant l’heure mauve, « western théâtral inusité », emprunte les codes d’un genre classique du cinéma. Six femmes se voient tout à coup en possession du pouvoir de changer le cours de la guerre, lorsqu’un général sans foi ni loi se retrouve kidnappé. Le texte de Maude Bégin-Robitaille est mis en scène par Marie-Hélène Lalande, avec la complicité de Sophie Thibeault et de Sonia Montminy.
Puis, du 17 au 28 octobre, Gabriel Morin livre son monologue autofictionnel Merci d’être venus, où il évoque le suicide de son frère aîné, et tente d’en comprendre les causes. Le solo est mis en scène par David Strasbourg. Madra de Frances Poet, un thriller psychologique traduit par Marc-André Thibault, prendra l’affiche du 14 au 25 novembre, mis en scène par Marie-Hélène Lalande. Suivra un duo intitulé L’oeil, rencontre entre la fille d’un peintre de renommée internationale et celle qui lui sert de modèle vivant, écrit et mis en scène par Rosalie Cournoyer et interprété par Maureen Roberge et Marie-Ève Lussier Gariépy.
Après les fêtes, du 16 au 27 janvier, on présente deux comédies noires méconnues de Larry Tremblay, Le Déclic du destin et Le Problème avec moi. En mars, Dimanche à Sodome, de Jordan Tannahill, traduit par Olivier Sylvestre, s’annonce comme une relecture féministe de versets de la Genèse décrivant la destruction des villes de Sodome et Gomorrhe. Enfin, en avril, Nina ou de la fragilité des mouettes empaillées ramène les personnages de La Mouette de Tchekhov 15 ans plus tard, en 1917, alors que Première Guerre mondiale et Révolution russe font rage. Le texte de Matéi Visniec est mis en scène par Guillaume Pepin.
Toutes les informations sont accessibles sur le site du théâtre : theatreperiscope.qc.ca
En cette rentrée théâtrale foisonnante, les dévoilements de programmations 2023-2024 se succèdent, avec leurs multiples promesses. À Québec, le Périscope s’est donné pour thème « Donnons lieu » : « Alors qu’une partie de plus en plus importante de nos vies se déroule en ligne, il y a un courage indéniable dans l’acte d’aller au théâtre », écrivent les codirecteurs artistiques, Gabrielle Ferron et Samuel Corbeil.
Du 19 septembre au 7 octobre, Avant l’heure mauve, « western théâtral inusité », emprunte les codes d’un genre classique du cinéma. Six femmes se voient tout à coup en possession du pouvoir de changer le cours de la guerre, lorsqu’un général sans foi ni loi se retrouve kidnappé. Le texte de Maude Bégin-Robitaille est mis en scène par Marie-Hélène Lalande, avec la complicité de Sophie Thibeault et de Sonia Montminy.
Puis, du 17 au 28 octobre, Gabriel Morin livre son monologue autofictionnel Merci d’être venus, où il évoque le suicide de son frère aîné, et tente d’en comprendre les causes. Le solo est mis en scène par David Strasbourg. Madra de Frances Poet, un thriller psychologique traduit par Marc-André Thibault, prendra l’affiche du 14 au 25 novembre, mis en scène par Marie-Hélène Lalande. Suivra un duo intitulé L’oeil, rencontre entre la fille d’un peintre de renommée internationale et celle qui lui sert de modèle vivant, écrit et mis en scène par Rosalie Cournoyer et interprété par Maureen Roberge et Marie-Ève Lussier Gariépy.
Après les fêtes, du 16 au 27 janvier, on présente deux comédies noires méconnues de Larry Tremblay, Le Déclic du destin et Le Problème avec moi. En mars, Dimanche à Sodome, de Jordan Tannahill, traduit par Olivier Sylvestre, s’annonce comme une relecture féministe de versets de la Genèse décrivant la destruction des villes de Sodome et Gomorrhe. Enfin, en avril, Nina ou de la fragilité des mouettes empaillées ramène les personnages de La Mouette de Tchekhov 15 ans plus tard, en 1917, alors que Première Guerre mondiale et Révolution russe font rage. Le texte de Matéi Visniec est mis en scène par Guillaume Pepin.
Toutes les informations sont accessibles sur le site du théâtre : theatreperiscope.qc.ca