Palomar, de la compagnie visible (France/Italie) et L’ivresse des profondeurs, de la Compagnie 1001 (France) seront de passage cet automne, tous deux créés par des femmes marionnettistes de talent.
Adaptation en théâtre de papier par Raquel Silva et Alessandra Solimene de l’œuvre d’Italo Calvino dont on célèbre cette année le 100e anniversaire de naissance, la pièce Palomar suit le personnage du même nom, à la recherche de la sagesse, dans trois de ces aventures, soit Le sein nu, Le gorille albinos et L’univers comme miroir.
Palomar © Pensée visible
D’origine portugaise, mais vivant en France, Raquel Silva, après avoir assisté pendant 25 ans le metteur en scène romain Giorgio Barberio développe aujourd’hui ses propres projets où la précision et la poésie du théâtre d’objets, de papier et de marionnettes viennent éclairer des sujets complexes. L’Italienne Alessandra Solimene, quant à elle, est diplômée d’une maîtrise en scénographie de l’Accademia di Belle Arti di Roma. En tant que scénographe, elle travaille avec plusieurs metteurs en scène en tant que scénographe pour des créations qui vont du théâtre à l’audiovisuel en passant par l’installation multimédia ou la conception d’intérieur.
Palomar sera présenté du 9 au 11 novembre à la Maison internationale des arts de la marionnette (MIAM).
Plongée visuelle et musicale qui raconte de façon poétique des histoires de personnes en apesanteur, dont les racines ont été coupées et qui ont dû quitter leur pays, L’ivresse des profondeurs raconte des histoires qui s’enchaînent un peu à la manière des Mille et Une Nuits et s’entremêlent pour se retrouver intimement liées.
Née en Iran, la metteuse en scène et marionnettistes Sayeh Sirvani, après avoir fait les Beaux-Arts à l’université de Téhéran, obtient son diplôme de l’École nationale supérieure des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières en France, où elle vit depuis 2015. Associée à l’Espace 110 au Centre culturel d’Illzach, elle a aussi fondé la Compagnie 1001 en 2021. Avec cette dernière, Sayeh Sirvani veut croiser le théâtre de marionnettes avec l’art du conte, en s’inspirant de l’héritage de la culture persane, afin de faire dialoguer cette culture traditionnelle avec l’art contemporain.
L’ivresse des profondeurs sera présentée le 15 novembre à 19 h et le 16 novembre à 20 h au Théâtre Aux Écuries.
Palomar, de la compagnie visible (France/Italie) et L’ivresse des profondeurs, de la Compagnie 1001 (France) seront de passage cet automne, tous deux créés par des femmes marionnettistes de talent.
Adaptation en théâtre de papier par Raquel Silva et Alessandra Solimene de l’œuvre d’Italo Calvino dont on célèbre cette année le 100e anniversaire de naissance, la pièce Palomar suit le personnage du même nom, à la recherche de la sagesse, dans trois de ces aventures, soit Le sein nu, Le gorille albinos et L’univers comme miroir.
Palomar © Pensée visible
D’origine portugaise, mais vivant en France, Raquel Silva, après avoir assisté pendant 25 ans le metteur en scène romain Giorgio Barberio développe aujourd’hui ses propres projets où la précision et la poésie du théâtre d’objets, de papier et de marionnettes viennent éclairer des sujets complexes. L’Italienne Alessandra Solimene, quant à elle, est diplômée d’une maîtrise en scénographie de l’Accademia di Belle Arti di Roma. En tant que scénographe, elle travaille avec plusieurs metteurs en scène en tant que scénographe pour des créations qui vont du théâtre à l’audiovisuel en passant par l’installation multimédia ou la conception d’intérieur.
Palomar sera présenté du 9 au 11 novembre à la Maison internationale des arts de la marionnette (MIAM).
Plongée visuelle et musicale qui raconte de façon poétique des histoires de personnes en apesanteur, dont les racines ont été coupées et qui ont dû quitter leur pays, L’ivresse des profondeurs raconte des histoires qui s’enchaînent un peu à la manière des Mille et Une Nuits et s’entremêlent pour se retrouver intimement liées.
Née en Iran, la metteuse en scène et marionnettistes Sayeh Sirvani, après avoir fait les Beaux-Arts à l’université de Téhéran, obtient son diplôme de l’École nationale supérieure des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières en France, où elle vit depuis 2015. Associée à l’Espace 110 au Centre culturel d’Illzach, elle a aussi fondé la Compagnie 1001 en 2021. Avec cette dernière, Sayeh Sirvani veut croiser le théâtre de marionnettes avec l’art du conte, en s’inspirant de l’héritage de la culture persane, afin de faire dialoguer cette culture traditionnelle avec l’art contemporain.
L’ivresse des profondeurs sera présentée le 15 novembre à 19 h et le 16 novembre à 20 h au Théâtre Aux Écuries.