Ce qui reste : c’est le thème de la prochaine saison du théâtre qui fait place à la création québécoise.
« Face aux crises qui traversent le monde, il y a une forme d’honnêteté, d’intégrité et d’apaisement qui pave la voie aux créations des artistes. Il y a pour nous un besoin d’inviter à un espace convivial une société qui cherche ses récits communs et ses espaces de solidarité. Nous ferons parler ce qui reste de nous, mais ce n’est pas une consolation. C’est parler de ce que nous avons déjà. De ce à quoi nous tenons », affime le directeur artisitique Sylvain Bélanger.
En ouverture de saison à la salle Michelle-Rossignol, le duo Karina Pawlikowski et Julien Morissette propose Là où la poussière se dépose, une expérience à mi-chemin entre performance sonore et théâtre qui invitent le public à traverser une maison intériorisée qui devient le théâtre de l’effritement d’un foyer qui nécessite d’être repensé.
En 2008, Iannicko N’Doua visite pour la première fois son père en Côte d’Ivoire, après plus de deux décennies de séparation et de correspondance. Seize ans plus tard, avec la complicité de Marc Beaupré à la mise en scène, il présente Neige sur Abidjan, un récit intime et parfois onirique qui explore la filiation, la distance, le souvenir et la mémoire.
De retour au CTD’A, l’auteur Sébastien David présente Une fin, un texte qui réunit une centaine de personnages face à la fin imminente de l’humanité. Seize interprètes sont réuni·es dans une mise en scène de Patrice Dubois et Laurence Dauphinais.
Pour son premier grand plateau, Stephie Mazunya offre un espace de liberté, où il est possible de devenir étranger à soi pour mieux se reconnaître. Embrassant pleinement la complexité de l’existence, Chronologies met en parallèle deux femmes africaines dont les histoires convergent et divergent, dévoilant leur éveil intellectuel, leur passion pour l’écriture et les multiples défis d’un retour au pays. La mise en scène est signée Stéphanie Jasmin.
À la salle Jean-Claude-Germain, Tamara Nguyen et Vincent Kim racontent avec La démagogie des dragons leur périple empreint d’ironie vers leurs origines vietnamiennes.
En tournée à travers le Québec, Anne-Marie Olivier est de retour avec son succès Maurice, histoire de résilience d’un homme aphasique.
Signée Laurence Laprise et Laurie Léveillé, Viqueens : saga nordique est une comédie à l’humour déjanté qui défie les normes de l’androcentrisme archéologique, en répondant à la question : « Et si les Vikings étaient en fait des Viqueens ? »
Carolanne Foucher propose Ici par hasard, où la fin de semaine au chalet d’une fratrie endeuillée prend une tournure inattendue. De Moncton, Bianca Richard et Gabriel Robichaud présentent Parler mal, une quête personnelle et collective à propos de l’insécurité linguistique.
Programmation complète
Ce qui reste : c’est le thème de la prochaine saison du théâtre qui fait place à la création québécoise.
« Face aux crises qui traversent le monde, il y a une forme d’honnêteté, d’intégrité et d’apaisement qui pave la voie aux créations des artistes. Il y a pour nous un besoin d’inviter à un espace convivial une société qui cherche ses récits communs et ses espaces de solidarité. Nous ferons parler ce qui reste de nous, mais ce n’est pas une consolation. C’est parler de ce que nous avons déjà. De ce à quoi nous tenons », affime le directeur artisitique Sylvain Bélanger.
En ouverture de saison à la salle Michelle-Rossignol, le duo Karina Pawlikowski et Julien Morissette propose Là où la poussière se dépose, une expérience à mi-chemin entre performance sonore et théâtre qui invitent le public à traverser une maison intériorisée qui devient le théâtre de l’effritement d’un foyer qui nécessite d’être repensé.
En 2008, Iannicko N’Doua visite pour la première fois son père en Côte d’Ivoire, après plus de deux décennies de séparation et de correspondance. Seize ans plus tard, avec la complicité de Marc Beaupré à la mise en scène, il présente Neige sur Abidjan, un récit intime et parfois onirique qui explore la filiation, la distance, le souvenir et la mémoire.
De retour au CTD’A, l’auteur Sébastien David présente Une fin, un texte qui réunit une centaine de personnages face à la fin imminente de l’humanité. Seize interprètes sont réuni·es dans une mise en scène de Patrice Dubois et Laurence Dauphinais.
Pour son premier grand plateau, Stephie Mazunya offre un espace de liberté, où il est possible de devenir étranger à soi pour mieux se reconnaître. Embrassant pleinement la complexité de l’existence, Chronologies met en parallèle deux femmes africaines dont les histoires convergent et divergent, dévoilant leur éveil intellectuel, leur passion pour l’écriture et les multiples défis d’un retour au pays. La mise en scène est signée Stéphanie Jasmin.
À la salle Jean-Claude-Germain, Tamara Nguyen et Vincent Kim racontent avec La démagogie des dragons leur périple empreint d’ironie vers leurs origines vietnamiennes.
En tournée à travers le Québec, Anne-Marie Olivier est de retour avec son succès Maurice, histoire de résilience d’un homme aphasique.
Signée Laurence Laprise et Laurie Léveillé, Viqueens : saga nordique est une comédie à l’humour déjanté qui défie les normes de l’androcentrisme archéologique, en répondant à la question : « Et si les Vikings étaient en fait des Viqueens ? »
Carolanne Foucher propose Ici par hasard, où la fin de semaine au chalet d’une fratrie endeuillée prend une tournure inattendue. De Moncton, Bianca Richard et Gabriel Robichaud présentent Parler mal, une quête personnelle et collective à propos de l’insécurité linguistique.
Programmation complète