En juin dernier, le Festival international de la littérature (FIL) annonçait cinq grands rendez-vous de son édition 2024. Le FIL, qui célèbre ses 30 ans cette année, en dévoile maintenant un peu plus.
Bercer les eaux, d’Émilie Monnet, Soleil Launière et Andrée Levesque Sioui réunit ses trois femmes, écrivaines et performeuses et représentant trois nations pour un happening littéraire autour de la voix féminine autochtone. Une production de Kwahiatonhk !, présentée en codiffusion par le FIL 2024 et le CTD’A le 19 septembre prochain au Centre du Théâtre d’Aujourdhui.
Quelque cent cinquante ans après sa mort, Emily Dickinson demeure une énigme. Lors d’une lecture-spectacle, imaginée à partir d’un montage inédit des Villes de papier et des Ombres blanches, l’autrice Dominique Fortier et la comédienne Pascale Montpetit retracent ensemble le destin de la poète et celui de son œuvre dans Emily, fille de personne, présentée les 20, 21 et 22 septembre à la Place des Arts.
Mon corps ébloui, debout, d’Émilie Turmel et Johanne Haberlin fait hommage à la poésie d’Émilie Turmel, qui sonde la transmission entre femmes à travers différentes perspectives : l’engourdissement du corps des jeunes filles, le legs de la douleur qui se transmet d’une génération à l’autre et la mémoire séculaire des femmes devenues mères. Séduite par les mots de cette autrice, Johanne Haberlin en propose une lecture-spectacle avec, sur scène, quatre femmes comme autant de visages diffractés d’une seule, qui se révèle à la fois singulière et multiple. Avec Sophie Desmarais, Nathalie Doummar, Émilie Laforest et Eve Pressault, présentée les 21 et 22 septembre au CTD’A.
Olivier Kemeid a choisi de consacrer un spectacle littéraire à l’œuvre de Robert Lalonde, et plus particulièrement à son magnifique Monde sur le flanc de la truite qui porte sur l’art de voir, de lire et d’écrire. Il sera ici question de littérature bien sûr, mais aussi de l’extrême sensibilité d’un écrivain à la nature et au bruissement du monde qui trouve des échos avec la sensibilité écologique des nouvelles générations. Ce spectacle se veut en quelque sorte un hommage à celui qui s’est vu tout récemment décerner le Prix Athanase-David. Avec Mélikah Abdelmoumen, Alex Bergeron, Sarah Berthiaume, Eveleyne de la Chenelière, Alexis Martin et Philippe Brault, présenté le 20 septembre à la Place des Arts.
Enfin, Le violon d’Adrien, de Gary Victor et Sodia Blondin présente une mise en lecture pour rendre hommage à cet auteur haïtien qui a plus d’une quarantaine d’ouvrages à son actif. Avec Lyndz Dantiste, Fayolle Jean, Fayolle Jean JR, Tracy Marcelin et Joujou Turenne. Présentée le 20 septembre à la Place des Arts.
En juin dernier, le Festival international de la littérature (FIL) annonçait cinq grands rendez-vous de son édition 2024. Le FIL, qui célèbre ses 30 ans cette année, en dévoile maintenant un peu plus.
Bercer les eaux, d’Émilie Monnet, Soleil Launière et Andrée Levesque Sioui réunit ses trois femmes, écrivaines et performeuses et représentant trois nations pour un happening littéraire autour de la voix féminine autochtone. Une production de Kwahiatonhk !, présentée en codiffusion par le FIL 2024 et le CTD’A le 19 septembre prochain au Centre du Théâtre d’Aujourdhui.
Quelque cent cinquante ans après sa mort, Emily Dickinson demeure une énigme. Lors d’une lecture-spectacle, imaginée à partir d’un montage inédit des Villes de papier et des Ombres blanches, l’autrice Dominique Fortier et la comédienne Pascale Montpetit retracent ensemble le destin de la poète et celui de son œuvre dans Emily, fille de personne, présentée les 20, 21 et 22 septembre à la Place des Arts.
Mon corps ébloui, debout, d’Émilie Turmel et Johanne Haberlin fait hommage à la poésie d’Émilie Turmel, qui sonde la transmission entre femmes à travers différentes perspectives : l’engourdissement du corps des jeunes filles, le legs de la douleur qui se transmet d’une génération à l’autre et la mémoire séculaire des femmes devenues mères. Séduite par les mots de cette autrice, Johanne Haberlin en propose une lecture-spectacle avec, sur scène, quatre femmes comme autant de visages diffractés d’une seule, qui se révèle à la fois singulière et multiple. Avec Sophie Desmarais, Nathalie Doummar, Émilie Laforest et Eve Pressault, présentée les 21 et 22 septembre au CTD’A.
Olivier Kemeid a choisi de consacrer un spectacle littéraire à l’œuvre de Robert Lalonde, et plus particulièrement à son magnifique Monde sur le flanc de la truite qui porte sur l’art de voir, de lire et d’écrire. Il sera ici question de littérature bien sûr, mais aussi de l’extrême sensibilité d’un écrivain à la nature et au bruissement du monde qui trouve des échos avec la sensibilité écologique des nouvelles générations. Ce spectacle se veut en quelque sorte un hommage à celui qui s’est vu tout récemment décerner le Prix Athanase-David. Avec Mélikah Abdelmoumen, Alex Bergeron, Sarah Berthiaume, Eveleyne de la Chenelière, Alexis Martin et Philippe Brault, présenté le 20 septembre à la Place des Arts.
Enfin, Le violon d’Adrien, de Gary Victor et Sodia Blondin présente une mise en lecture pour rendre hommage à cet auteur haïtien qui a plus d’une quarantaine d’ouvrages à son actif. Avec Lyndz Dantiste, Fayolle Jean, Fayolle Jean JR, Tracy Marcelin et Joujou Turenne. Présentée le 20 septembre à la Place des Arts.