Le Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec a récemment annoncé que Nicolas Tellier, du Cégep de Lanaudière à l’Assomption, est le grand gagnant de l’édition 2025 de l’Égrégore, le concours intercollégial d’écriture dramatique.
Le jury, formé de Tamara Nguyen, Mathieu Quesnel et Véronick Raymond, s’est laissé séduire par le texte Collisions rédigé par l’étudiant en art et théâtre.
En mettant la main sur ce titre et grâce à la participation du CEAD, Nicolas Tellier pourra profiter de l’expertise du dramaturge Gabriel Charlebois-Plante, qui l’accompagnera dans la réécriture et la bonification de son texte. En partenariat avec le Jamais Lu, le fruit de ce travail sera présenté à l’occasion d’une lecture publique menée par une équipe professionnelle du milieu théâtral. La représentation figurera à la programmation du 24e Festival du Jamais Lu Montréal le 5 mai prochain au Théâtre Aux Écuries.
Nicolas Tellier est un étudiant en art et en théâtre. Il aime tout ce qui est scénographie, médiagraphie, éclairage et interprétation. C’est aussi un joueur d’improvisation depuis quelques années. Il adore créer de grands univers, mais surtout se concentrer sur les relations entre les personnages. Pour lui, n’importe quel récit, qu’il soit réel ou fictif, devrait avoir l’audace de parler de ce qui est vrai : les émotions.
« Chaque fois que je tombais amoureux de quelqu’un qui me faisait du mal, je me disais : il n’y a personne d’autre. Je les écoutais, je les comprenais et je finissais par savoir exactement ce qui allait se passer […] C’est de là que mon texte est né. De cette idée autodestructrice, j’y ai exagéré la solitude et je les ai forcées dans un huis clos. Je voulais aller chercher l’empathie des personnes qui pensent réellement que c’est la chose à faire. Pour leur faire voir que ce n’est pas ce qu’on cherche ni ce qu’on mérite. Je voulais les aider à dire : non, je vaux mieux », explique Nicolas Tellier à propos de son texte.
Le concours l’Égrégore tient son nom du premier théâtre expérimental de Montréal en 1959 sous l’égide de Françoise Berd.
Le Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec a récemment annoncé que Nicolas Tellier, du Cégep de Lanaudière à l’Assomption, est le grand gagnant de l’édition 2025 de l’Égrégore, le concours intercollégial d’écriture dramatique.
Le jury, formé de Tamara Nguyen, Mathieu Quesnel et Véronick Raymond, s’est laissé séduire par le texte Collisions rédigé par l’étudiant en art et théâtre.
En mettant la main sur ce titre et grâce à la participation du CEAD, Nicolas Tellier pourra profiter de l’expertise du dramaturge Gabriel Charlebois-Plante, qui l’accompagnera dans la réécriture et la bonification de son texte. En partenariat avec le Jamais Lu, le fruit de ce travail sera présenté à l’occasion d’une lecture publique menée par une équipe professionnelle du milieu théâtral. La représentation figurera à la programmation du 24e Festival du Jamais Lu Montréal le 5 mai prochain au Théâtre Aux Écuries.
Nicolas Tellier est un étudiant en art et en théâtre. Il aime tout ce qui est scénographie, médiagraphie, éclairage et interprétation. C’est aussi un joueur d’improvisation depuis quelques années. Il adore créer de grands univers, mais surtout se concentrer sur les relations entre les personnages. Pour lui, n’importe quel récit, qu’il soit réel ou fictif, devrait avoir l’audace de parler de ce qui est vrai : les émotions.
« Chaque fois que je tombais amoureux de quelqu’un qui me faisait du mal, je me disais : il n’y a personne d’autre. Je les écoutais, je les comprenais et je finissais par savoir exactement ce qui allait se passer […] C’est de là que mon texte est né. De cette idée autodestructrice, j’y ai exagéré la solitude et je les ai forcées dans un huis clos. Je voulais aller chercher l’empathie des personnes qui pensent réellement que c’est la chose à faire. Pour leur faire voir que ce n’est pas ce qu’on cherche ni ce qu’on mérite. Je voulais les aider à dire : non, je vaux mieux », explique Nicolas Tellier à propos de son texte.
Le concours l’Égrégore tient son nom du premier théâtre expérimental de Montréal en 1959 sous l’égide de Françoise Berd.