Duceppe dévoile les cinq spectacles signature de sa saison 2025-2026 : cinq créations originales, dont plusieurs sont le fruit de résidences d’écriture de la compagnie.
« C’est grâce à nos résidences d’écriture que ces œuvres actuelles et pertinentes peuvent prendre vie sur notre scène et sonder notre identité collective passée, présente et future. En cherchant à mettre en lumière ce qui nous définit, les auteur·ices d’ici nous incitent à nous interroger sur notre société et à la réinventer. Et c’est précisément la marque que nous souhaitons laisser avec la saison à venir : rassembleuse et transformatrice », expliquent David Laurin et Jean-Simon Traversy, codirecteurs artistiques.
Après l’énorme succès de son roman autobiographique Rue Duplessis, ma petite noirceur, Jean-Philippe Pleau s’apprête à monter sur scène pour défendre lui-même son récit personnel devant des centaines de spectateur·ices. Dans cette adaptation signée David Laurin (codirecteur artistique de Duceppe) et mise en scène par Marie-Ève Milot, l’auteur sociologue sera solidement entouré par les comédiens Michel-Maxime Legault et Steve Laplante.
La Messe Basse a réuni un collectif de huit artistes autour du projet ambitieux de raconter l’émergence de la communauté LGBTQ+ de Montréal au tournant des années 90. Pendant plus de deux ans, ces créateur·ices ont fouillé les archives et multiplié les rencontres pour construire une trame narrative autour d’événements et de personnages plus grands que nature qui ont marqué de cette époque charnière. Menée par Maxime Carbonneau à la mise en scène, l’imposante distribution (15 acteur·ices) de Corps fantômes compte notamment Dany Boudreault, Francis Ducharme, Gabriel Cloutier-Tremblay, Sébastien David, Célia Gouin-Arsenault, Marie-Soleil Dion et Joephillip Lafortune.
Catherine-Anne Toupin signe un thriller dystopique à l’issue de sa résidence d’écriture chez Duceppe. Boîte noire embrasse plusieurs sujets chauds: les mirages de l’optimisation de soi, la déshumanisation induite par la technologie, les inégalités sociales et le défi planétaire de l’immigration. Dans une scénographie hypnotisante, sous la direction de Justin Laramée à la mise en scène, ce spectacle de science-fiction met en vedette Catherine-Anne Toupin, Vincent-Guillaume Otis, Victor Andres Trelles Turgeon et Madeleine Sarr.
Pour marquer les 40 ans d’Ondinnok, son directeur artistique, Dave Jenniss, a tendu la main aux créateur·ices des compagnies Menuentakuan et Auen pour bâtir une œuvre collective inédite. Issue des résidences d’écriture de Duceppe, cette création originale se situe au croisement du thriller politique et de la quête identitaire. Tupqan (« terre » dans la langue wolastoqey) nous invite à revisiter nos histoires intimes et collectives pour mieux comprendre le présent. Dans la mise en scène de Soleil Launière, sous le conseil artistique de Charles Bender, Étienne Thibeault partage l’avant-scène avec Ines Talbi, Sylvie Drapeau et Alexia Vinci.
Après le succès critique et populaire de Mama (2022), Nathalie Doummar poursuit l’exploration de sa mythologie familiale et pose un regard lucide et bienveillant sur la masculinité contemporaine. La dramaturge codirige elle-même les comédiens (dont Manuel Tadros, Paul Ahmarani, Ariel Ifergan, Antoine Yared et Neil Elias), assistée à la mise en scène par le codirecteur artistique de Duceppe Jean-Simon Traversy. La présence sur scène d’Étienne Coppée ponctue l’action de moments quasi surnaturels dans cette comédie dramatique qui dépeint, avec humour et quelques malaises, la force et la vulnérabilité des liens au sein de ce micro empire qu’est la famille.
Les spectacles qui forment la saison 2025-26 ont tous été écrits spécifiquement pour la scène de Duceppe, la plupart ayant bénéficié d’un accompagnement artistique et financier pendant leur gestation, et témoignent de l’importance que prennent les résidences d’écriture pour la compagnie. En 2025, Olivier Kemeid se joint à l’équipe de dramaturges en résidence. L’auteur, metteur en scène, comédien et directeur artistique de la compagnie Trois Tristes Tigres compte poursuivre son exploration des thèmes de l’exil, fouiller notre relation à l’Histoire et à la mémoire, et la façon dont les jeunes générations construisent leur propre identité, souvent en rupture avec celle de leurs parents.
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Duceppe dévoile les cinq spectacles signature de sa saison 2025-2026 : cinq créations originales, dont plusieurs sont le fruit de résidences d’écriture de la compagnie.
« C’est grâce à nos résidences d’écriture que ces œuvres actuelles et pertinentes peuvent prendre vie sur notre scène et sonder notre identité collective passée, présente et future. En cherchant à mettre en lumière ce qui nous définit, les auteur·ices d’ici nous incitent à nous interroger sur notre société et à la réinventer. Et c’est précisément la marque que nous souhaitons laisser avec la saison à venir : rassembleuse et transformatrice », expliquent David Laurin et Jean-Simon Traversy, codirecteurs artistiques.
Après l’énorme succès de son roman autobiographique Rue Duplessis, ma petite noirceur, Jean-Philippe Pleau s’apprête à monter sur scène pour défendre lui-même son récit personnel devant des centaines de spectateur·ices. Dans cette adaptation signée David Laurin (codirecteur artistique de Duceppe) et mise en scène par Marie-Ève Milot, l’auteur sociologue sera solidement entouré par les comédiens Michel-Maxime Legault et Steve Laplante.
La Messe Basse a réuni un collectif de huit artistes autour du projet ambitieux de raconter l’émergence de la communauté LGBTQ+ de Montréal au tournant des années 90. Pendant plus de deux ans, ces créateur·ices ont fouillé les archives et multiplié les rencontres pour construire une trame narrative autour d’événements et de personnages plus grands que nature qui ont marqué de cette époque charnière. Menée par Maxime Carbonneau à la mise en scène, l’imposante distribution (15 acteur·ices) de Corps fantômes compte notamment Dany Boudreault, Francis Ducharme, Gabriel Cloutier-Tremblay, Sébastien David, Célia Gouin-Arsenault, Marie-Soleil Dion et Joephillip Lafortune.
Catherine-Anne Toupin signe un thriller dystopique à l’issue de sa résidence d’écriture chez Duceppe. Boîte noire embrasse plusieurs sujets chauds: les mirages de l’optimisation de soi, la déshumanisation induite par la technologie, les inégalités sociales et le défi planétaire de l’immigration. Dans une scénographie hypnotisante, sous la direction de Justin Laramée à la mise en scène, ce spectacle de science-fiction met en vedette Catherine-Anne Toupin, Vincent-Guillaume Otis, Victor Andres Trelles Turgeon et Madeleine Sarr.
Pour marquer les 40 ans d’Ondinnok, son directeur artistique, Dave Jenniss, a tendu la main aux créateur·ices des compagnies Menuentakuan et Auen pour bâtir une œuvre collective inédite. Issue des résidences d’écriture de Duceppe, cette création originale se situe au croisement du thriller politique et de la quête identitaire. Tupqan (« terre » dans la langue wolastoqey) nous invite à revisiter nos histoires intimes et collectives pour mieux comprendre le présent. Dans la mise en scène de Soleil Launière, sous le conseil artistique de Charles Bender, Étienne Thibeault partage l’avant-scène avec Ines Talbi, Sylvie Drapeau et Alexia Vinci.
Après le succès critique et populaire de Mama (2022), Nathalie Doummar poursuit l’exploration de sa mythologie familiale et pose un regard lucide et bienveillant sur la masculinité contemporaine. La dramaturge codirige elle-même les comédiens (dont Manuel Tadros, Paul Ahmarani, Ariel Ifergan, Antoine Yared et Neil Elias), assistée à la mise en scène par le codirecteur artistique de Duceppe Jean-Simon Traversy. La présence sur scène d’Étienne Coppée ponctue l’action de moments quasi surnaturels dans cette comédie dramatique qui dépeint, avec humour et quelques malaises, la force et la vulnérabilité des liens au sein de ce micro empire qu’est la famille.
Les spectacles qui forment la saison 2025-26 ont tous été écrits spécifiquement pour la scène de Duceppe, la plupart ayant bénéficié d’un accompagnement artistique et financier pendant leur gestation, et témoignent de l’importance que prennent les résidences d’écriture pour la compagnie. En 2025, Olivier Kemeid se joint à l’équipe de dramaturges en résidence. L’auteur, metteur en scène, comédien et directeur artistique de la compagnie Trois Tristes Tigres compte poursuivre son exploration des thèmes de l’exil, fouiller notre relation à l’Histoire et à la mémoire, et la façon dont les jeunes générations construisent leur propre identité, souvent en rupture avec celle de leurs parents.
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