La saison 2025–2026 de la salle montréalaise La Chapelle Scènes Contemporaines s’ouvrira le 10 septembre avec Making Time de Sasha Kleinplatz, une œuvre percussive présentée par Danse-Cité. Quatre danseur·euse·s et trois batteur·euse·s y explorent la rencontre entre rythme et mouvement, où le corps devient caisse de résonance. Djata : Conversations du Manden d’Aly Keita rendra ensuite hommage à l’épopée mandingue, à ses racines, à ses transmissions et à ses alliances.
Refaire la Marguerite, une création d’Anne-Marie Ouellet, Thomas Sinou, Jeanne Sinou et Inès Sinou de la compagnie L’eau du bain, sera coprésentée avec La Mèche Courte, un nouveau festival jeune public. Cette œuvre plonge dans un rituel familial décalé au milieu d’un joyeux chaos. La performance Use et abuse de Christian Lapointe et Alix Dufresne révèlera ensuite comment les mécanismes du capitalisme s’inspirent des artistes eux-mêmes, qui sont par conséquent les mieux placés pour en démonter les rouages.
Infinithéâtre présentera ensuite Whalefall de Ashe Lang, Riley Wilson et Zach Fraser, une pièce documentaire conçue à partir d’entretiens avec des experts des baleines et de leurs écosystèmes. Elle combine marionnettes à grande échelle, théâtre d’objets et musique originale. S’ensuivra Scuse de Frédérique Cournoyer Lessard, qui mêle l’intimité du documentaire et la physicalité du cirque déconstruit pour interroger la construction du genre à travers des souvenirs d’enfance.
Tsishow de Xavier Goulet et Benjamin Therrien proposera ensuite une installation vivante inspirée des artistes d’hier et d’aujourd’hui, qui fabrique un Kébek parallèle, une maison imaginaire où l’art est partout. Amuse-gueule de Catherine Gaudet est quant à elle une chorégraphie fantôme qui hésite, tergiverse, s’évanouit presque, laissant place à l’invisible.
Mystic-Métallic d’Audrée Juteau, Zoey Gauld et Catherine Lavoie-Marcus convoquera enfin le pouvoir alchimique de la danse pour exorciser le désespoir écologique d’un territoire abitibien ravagé par l’exploitation minière. En juillet, la saison se conclura avec la 7ee édition de L’Autre Cirque, un événement coprésenté avec la TOHU dans le cadre de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Une hybridation des genres, où les formes circassiennes se déploient dans des directions inattendues.
Départ d’Olivier Bertrand
La Chapelle a en outre annoncé qu’Olivier Bertrand quittait ce mois-ci la direction générale et artistique pour retourner en France relever de nouveaux défis professionnels. Arrivé en 2015 à la tête de La Chapelle, il a notamment développé de nouvelles initiatives en matière de développements des publics, comme Récréations, Parcours et La Chapelle Plus Bilingue que Jamais. Il a également permis la modernisation des équipements techniques de la salle, le renouvellement des bureaux, la mise en place de partenariats et le développement des financements publics et privés.
« Ces dix années ont été marquées par une inspiration constante, tant La Chapelle offre un terrain de jeu et d’expérimentation d’une liberté rare. Cette décennie à Montréal restera inoubliable », a indiqué Olivier Bertrand. Avant son départ, il a présenté la programmation de la saison 2025–2026 et finalisé celle de 2026–2027. Christiane Chaput, directrice administrative de La Chapelle, assurera la direction par intérim en attendant la nomination d’une nouvelle personne.
La saison 2025–2026 de la salle montréalaise La Chapelle Scènes Contemporaines s’ouvrira le 10 septembre avec Making Time de Sasha Kleinplatz, une œuvre percussive présentée par Danse-Cité. Quatre danseur·euse·s et trois batteur·euse·s y explorent la rencontre entre rythme et mouvement, où le corps devient caisse de résonance. Djata : Conversations du Manden d’Aly Keita rendra ensuite hommage à l’épopée mandingue, à ses racines, à ses transmissions et à ses alliances.
Refaire la Marguerite, une création d’Anne-Marie Ouellet, Thomas Sinou, Jeanne Sinou et Inès Sinou de la compagnie L’eau du bain, sera coprésentée avec La Mèche Courte, un nouveau festival jeune public. Cette œuvre plonge dans un rituel familial décalé au milieu d’un joyeux chaos. La performance Use et abuse de Christian Lapointe et Alix Dufresne révèlera ensuite comment les mécanismes du capitalisme s’inspirent des artistes eux-mêmes, qui sont par conséquent les mieux placés pour en démonter les rouages.
Infinithéâtre présentera ensuite Whalefall de Ashe Lang, Riley Wilson et Zach Fraser, une pièce documentaire conçue à partir d’entretiens avec des experts des baleines et de leurs écosystèmes. Elle combine marionnettes à grande échelle, théâtre d’objets et musique originale. S’ensuivra Scuse de Frédérique Cournoyer Lessard, qui mêle l’intimité du documentaire et la physicalité du cirque déconstruit pour interroger la construction du genre à travers des souvenirs d’enfance.
Tsishow de Xavier Goulet et Benjamin Therrien proposera ensuite une installation vivante inspirée des artistes d’hier et d’aujourd’hui, qui fabrique un Kébek parallèle, une maison imaginaire où l’art est partout. Amuse-gueule de Catherine Gaudet est quant à elle une chorégraphie fantôme qui hésite, tergiverse, s’évanouit presque, laissant place à l’invisible.
Mystic-Métallic d’Audrée Juteau, Zoey Gauld et Catherine Lavoie-Marcus convoquera enfin le pouvoir alchimique de la danse pour exorciser le désespoir écologique d’un territoire abitibien ravagé par l’exploitation minière. En juillet, la saison se conclura avec la 7ee édition de L’Autre Cirque, un événement coprésenté avec la TOHU dans le cadre de MONTRÉAL COMPLÈTEMENT CiRQUE. Une hybridation des genres, où les formes circassiennes se déploient dans des directions inattendues.
Départ d’Olivier Bertrand
La Chapelle a en outre annoncé qu’Olivier Bertrand quittait ce mois-ci la direction générale et artistique pour retourner en France relever de nouveaux défis professionnels. Arrivé en 2015 à la tête de La Chapelle, il a notamment développé de nouvelles initiatives en matière de développements des publics, comme Récréations, Parcours et La Chapelle Plus Bilingue que Jamais. Il a également permis la modernisation des équipements techniques de la salle, le renouvellement des bureaux, la mise en place de partenariats et le développement des financements publics et privés.
« Ces dix années ont été marquées par une inspiration constante, tant La Chapelle offre un terrain de jeu et d’expérimentation d’une liberté rare. Cette décennie à Montréal restera inoubliable », a indiqué Olivier Bertrand. Avant son départ, il a présenté la programmation de la saison 2025–2026 et finalisé celle de 2026–2027. Christiane Chaput, directrice administrative de La Chapelle, assurera la direction par intérim en attendant la nomination d’une nouvelle personne.