L’École nationale de théâtre (ÉNT) est fière d’annoncer que le Prix Gascon-Thomas sera décerné aujourd’hui à la grande comédienne québécoise Monique Miller O.C., G.O.Q. et à la metteure en scène et auteure dramatique Djanet Sears, en reconnaissance de leur contribution majeure au renouvellement du théâtre.
Monique Miller, une artiste qui ose sans relâche
Pour Félix-Antoine Cantin, étudiant de 22 ans du programme d’Interprétation de l’ÉNT, Monique Miller est une grande inspiration pour plusieurs générations d’actrices et d’acteurs. « Elle est tout simplement fascinante ! L’ampleur de sa carrière et la diversité des productions auxquelles elle a participé la place dans une catégorie à part. Mme Miller est un joyau de notre théâtre, qui continue d’affiner son talent sans relâche. Même avec une notoriété telle que la sienne, rien n’est gagné : le travail continue, représentation après représentation », explique Félix-Antoine Cantin, qui remettra le Prix Gascon-Thomas à Monique Miller.
Monique Miller a largement participé à l’émergence de la dramaturgie québécoise dès les années 1950. Cette grande comédienne prête encore aujourd’hui sa voix, sa sensibilité et son intelligence aux œuvres de répertoire comme aux créations de jeunes auteurs. « Sa réputation chez les metteurs en scène est celle d’une actrice qui ose! À plus de 80 ans, sa fougue et sa détermination en font un formidable modèle pour des jeunes qui s’apprêtent à faire leur entrée dans le monde du théâtre », ajoute Denise Guilbault, la directrice artistique de la section française de l’ÉNT.
Djanet Sears, l’épanouissement d’une parole afro-canadienne
Rachel Mutombo, 23 ans, qui étudie en interprétation dans la section anglaise de l’ÉNT, présente ainsi Djanet Sears : « Son intégrité personnelle et son œuvre m’inspirent énormément. Je me souviens encore de la première fois que j’ai lu sa pièce Harlem Duet. J’y ai entendu une voix tout à fait nouvelle dans l’univers du théâtre canadien : celle d’une femme noire », souligne Rachel Mutombo, qui remettra le prix à celle qui est passée à l’histoire en devenant la première femme d’origine africaine à signer une mise en scène au festival de Stratford. Grâce à des pièces phares comme Harlem Duet et The Adventures of a Black Girl in Search of God, Djanet Sears a favorisé l’épanouissement d’une parole afro-canadienne et elle se fait la championne du féminisme et de l’inclusion depuis plus de 30 ans.
Communiqué de presse | École nationale de théâtre
L’École nationale de théâtre (ÉNT) est fière d’annoncer que le Prix Gascon-Thomas sera décerné aujourd’hui à la grande comédienne québécoise Monique Miller O.C., G.O.Q. et à la metteure en scène et auteure dramatique Djanet Sears, en reconnaissance de leur contribution majeure au renouvellement du théâtre.
Monique Miller, une artiste qui ose sans relâche
Pour Félix-Antoine Cantin, étudiant de 22 ans du programme d’Interprétation de l’ÉNT, Monique Miller est une grande inspiration pour plusieurs générations d’actrices et d’acteurs. « Elle est tout simplement fascinante ! L’ampleur de sa carrière et la diversité des productions auxquelles elle a participé la place dans une catégorie à part. Mme Miller est un joyau de notre théâtre, qui continue d’affiner son talent sans relâche. Même avec une notoriété telle que la sienne, rien n’est gagné : le travail continue, représentation après représentation », explique Félix-Antoine Cantin, qui remettra le Prix Gascon-Thomas à Monique Miller.
Monique Miller a largement participé à l’émergence de la dramaturgie québécoise dès les années 1950. Cette grande comédienne prête encore aujourd’hui sa voix, sa sensibilité et son intelligence aux œuvres de répertoire comme aux créations de jeunes auteurs. « Sa réputation chez les metteurs en scène est celle d’une actrice qui ose! À plus de 80 ans, sa fougue et sa détermination en font un formidable modèle pour des jeunes qui s’apprêtent à faire leur entrée dans le monde du théâtre », ajoute Denise Guilbault, la directrice artistique de la section française de l’ÉNT.
Rachel Mutombo, 23 ans, qui étudie en interprétation dans la section anglaise de l’ÉNT, présente ainsi Djanet Sears : « Son intégrité personnelle et son œuvre m’inspirent énormément. Je me souviens encore de la première fois que j’ai lu sa pièce Harlem Duet. J’y ai entendu une voix tout à fait nouvelle dans l’univers du théâtre canadien : celle d’une femme noire », souligne Rachel Mutombo, qui remettra le prix à celle qui est passée à l’histoire en devenant la première femme d’origine africaine à signer une mise en scène au festival de Stratford. Grâce à des pièces phares comme Harlem Duet et The Adventures of a Black Girl in Search of God, Djanet Sears a favorisé l’épanouissement d’une parole afro-canadienne et elle se fait la championne du féminisme et de l’inclusion depuis plus de 30 ans.
Communiqué de presse | École nationale de théâtre