L’Usine C révèle en primeur quatre des spectacles qui feront partie de sa nouvelle saison.
Last Night I Dreamt That Somebody Loved Me
Du 10 au 21 octobre 2017
Ce projet philosophico-pop cherche à créer un lien direct entre des réflexions d’ordre philosophique et les chansons de la pop américaine (Shirley Bassey) et de la brit-pop (The Smiths). Ce « show » interroge les rapports entre la « culture du narcissisme » et la quête du bonheur. Il relate l’histoire d’un homme (Éric Bernier) qui, au terme de ses élucubrations et divagations sur l’amour et ses défaites, s’achète un chien. Trois danseurs et une danseuse complètent ce tableau d’une dérision tragique.
Un si gentil garçon
Du 7 au 18 novembre 2017
Passionné de musique, Polo, garçon de bonne famille, a fondé un groupe de rock avec ses copains d’université. Lors d’un concert prometteur et sous l’influence de deux jumeaux pervers, tout dérape. Vingt ans plus tard, Polo croise Blanca et, avec elle, ce passé trouble qui le dévore de l’intérieur reprend forme. Adapté par Denis Lavalou du roman impitoyable de Javier Gutierrez, Un si gentil garçon raconte, sans voyeurisme, une brûlante histoire lovée au cœur des milieux musicaux des années 90 mais qui percute de plein fouet notre actualité.
Dans la solitude des champs de coton
Du 23 janvier au 12 février 2018
Au cœur de la nuit, deux hommes se croisent au détour d’une rue déserte. Le premier est dealer, le second sera donc client. Entre eux s’engage alors une joute verbale dans la langue fulgurante de Koltès, où il sera question de la logique du désir et de l’inéluctable altérité entre les êtres. Pour cette nouvelle création de Sibyllines, deux acteurs d’exception se retrouvent face à face : Sébastien Ricard, complice artistique de longue date de Brigitte Haentjens, et Hugues Frenette qu’elle avait déjà dirigé dans Antigone.
La valse
Les 13 et 14 avril 2018
La Valse de Ravel, composée en 1920, porte en elle toutes les contradictions de son époque : grondements de fin du monde et euphorie de la modernité. Un matériau de choix pour le célèbre chorégraphe Raimund Hoghe, qui a décidé d’en ancrer la partition dans la tourmente d’aujourd’hui. La danse évoque les violences de la race humaine par une gestuelle magistrale, concentrée et précise, et la valse, de son rythme imperturbable, raconte les méandres de l’Histoire comme un perpétuel ressac. Un spectacle poignant, absolument juste.
L’Usine C révèle en primeur quatre des spectacles qui feront partie de sa nouvelle saison.
Last Night I Dreamt That Somebody Loved Me
Du 10 au 21 octobre 2017
Ce projet philosophico-pop cherche à créer un lien direct entre des réflexions d’ordre philosophique et les chansons de la pop américaine (Shirley Bassey) et de la brit-pop (The Smiths). Ce « show » interroge les rapports entre la « culture du narcissisme » et la quête du bonheur. Il relate l’histoire d’un homme (Éric Bernier) qui, au terme de ses élucubrations et divagations sur l’amour et ses défaites, s’achète un chien. Trois danseurs et une danseuse complètent ce tableau d’une dérision tragique.
Un si gentil garçon
Du 7 au 18 novembre 2017
Passionné de musique, Polo, garçon de bonne famille, a fondé un groupe de rock avec ses copains d’université. Lors d’un concert prometteur et sous l’influence de deux jumeaux pervers, tout dérape. Vingt ans plus tard, Polo croise Blanca et, avec elle, ce passé trouble qui le dévore de l’intérieur reprend forme. Adapté par Denis Lavalou du roman impitoyable de Javier Gutierrez, Un si gentil garçon raconte, sans voyeurisme, une brûlante histoire lovée au cœur des milieux musicaux des années 90 mais qui percute de plein fouet notre actualité.
Dans la solitude des champs de coton
Du 23 janvier au 12 février 2018
Au cœur de la nuit, deux hommes se croisent au détour d’une rue déserte. Le premier est dealer, le second sera donc client. Entre eux s’engage alors une joute verbale dans la langue fulgurante de Koltès, où il sera question de la logique du désir et de l’inéluctable altérité entre les êtres. Pour cette nouvelle création de Sibyllines, deux acteurs d’exception se retrouvent face à face : Sébastien Ricard, complice artistique de longue date de Brigitte Haentjens, et Hugues Frenette qu’elle avait déjà dirigé dans Antigone.
La valse
Les 13 et 14 avril 2018
La Valse de Ravel, composée en 1920, porte en elle toutes les contradictions de son époque : grondements de fin du monde et euphorie de la modernité. Un matériau de choix pour le célèbre chorégraphe Raimund Hoghe, qui a décidé d’en ancrer la partition dans la tourmente d’aujourd’hui. La danse évoque les violences de la race humaine par une gestuelle magistrale, concentrée et précise, et la valse, de son rythme imperturbable, raconte les méandres de l’Histoire comme un perpétuel ressac. Un spectacle poignant, absolument juste.