Du 20 au 29 octobre, 50 spectacles et quelque 55 conteurs et conteuses d’ici et d’ailleurs animeront les scènes d’une trentaine de lieux montréalais (théâtres, maisons de la culture, musées) à l’occasion du 30e anniversaire du Festival interculturel du conte de Montréal.
L’événement biennal, fondé en 1993 par l’ethnographe Marc Laberge, aujourd’hui sous la gouverne de la conteuse Stéphanie Bénéteau, directrice artistique et générale depuis 2015, a accueilli, depuis trois décennies, plus de 1 000 artistes de l’oralité de toute la francophonie.
Voulant célébrer le pouvoir guérisseur et rassembleur du conte, la directrice déclare : « Nous affirmons la force des liens qui nous unissent et la richesse de notre diversité, convaincus que la joie et la vitalité opposent une forme de résistance à l’isolement et au sentiment d’impuissance qui marquent nos vies postpandémiques. »
Deux grands spectacles ouvriront et fermeront les festivités. En ouverture, le vendredi 20 octobre au Théâtre Outremont, 30 ans, noces de perles débutera avec une prestation de la danseuse kanien’keha:ka (mohawk) Barbara Diabo, suivie des contes qui constituent aux yeux des artistes « les perles de leur répertoire ». On nous promet un voyage du Liban au Mali, passant par la Belgique, le Vietnam, la France, la Grèce antique, l’Europe de l’Est et, bien sûr, le Québec. En clôture, le dimanche 29 octobre à la Maison de la culture Janine-Sutto, Michel Faubert a élaboré un hommage aux Fées conteuses, « toutes ces femmes qui, à travers les temps, ont transmis les contes et chansons de tradition orale dans leurs cuisines, champs et jardins, tout en cuisinant, travaillant la terre et élevant leurs trâlées d’enfants ».
Entre ces deux dates, le festival accueillera notamment la Belge Anne Borlée, le Libanais d’origine Jihad Darwiche et sa fille Layla Darwiche, le Français Ladji Diallo, dont les racines sont au Mali, Michèle Nguyen, née en Algérie d’un père vietnamien et d’une mère belge, le Québécois Thomas Hellman, qui revisite en contes et en musique la mythologie grecque, et Élaine Richard des Îles-de-la-Madeleine.
Du 20 au 29 octobre, 50 spectacles et quelque 55 conteurs et conteuses d’ici et d’ailleurs animeront les scènes d’une trentaine de lieux montréalais (théâtres, maisons de la culture, musées) à l’occasion du 30e anniversaire du Festival interculturel du conte de Montréal.
L’événement biennal, fondé en 1993 par l’ethnographe Marc Laberge, aujourd’hui sous la gouverne de la conteuse Stéphanie Bénéteau, directrice artistique et générale depuis 2015, a accueilli, depuis trois décennies, plus de 1 000 artistes de l’oralité de toute la francophonie.
Voulant célébrer le pouvoir guérisseur et rassembleur du conte, la directrice déclare : « Nous affirmons la force des liens qui nous unissent et la richesse de notre diversité, convaincus que la joie et la vitalité opposent une forme de résistance à l’isolement et au sentiment d’impuissance qui marquent nos vies postpandémiques. »
Deux grands spectacles ouvriront et fermeront les festivités. En ouverture, le vendredi 20 octobre au Théâtre Outremont, 30 ans, noces de perles débutera avec une prestation de la danseuse kanien’keha:ka (mohawk) Barbara Diabo, suivie des contes qui constituent aux yeux des artistes « les perles de leur répertoire ». On nous promet un voyage du Liban au Mali, passant par la Belgique, le Vietnam, la France, la Grèce antique, l’Europe de l’Est et, bien sûr, le Québec. En clôture, le dimanche 29 octobre à la Maison de la culture Janine-Sutto, Michel Faubert a élaboré un hommage aux Fées conteuses, « toutes ces femmes qui, à travers les temps, ont transmis les contes et chansons de tradition orale dans leurs cuisines, champs et jardins, tout en cuisinant, travaillant la terre et élevant leurs trâlées d’enfants ».
Entre ces deux dates, le festival accueillera notamment la Belge Anne Borlée, le Libanais d’origine Jihad Darwiche et sa fille Layla Darwiche, le Français Ladji Diallo, dont les racines sont au Mali, Michèle Nguyen, née en Algérie d’un père vietnamien et d’une mère belge, le Québécois Thomas Hellman, qui revisite en contes et en musique la mythologie grecque, et Élaine Richard des Îles-de-la-Madeleine.