La prochaine édition du célèbre festival, qui se tiendra du 3 au 11 mai prochain à Montréal, proposera plus de 26 événements et projets de théâtre inédits.
« Attiser la lumière », voilà le thème de cette nouvelle édition élaborée par Marcelle Dubois, directrice artistique et générale du Jamais Lu et Lyndz Dantiste. Par cette ligne éditoriale, le duo souhaite « insuffler aux spectateur·trices de la joie, de la solidarité, de la douceur, du désir, de l’engagement, de la lumière. Parce que nous en avons bien besoin ».
À noter : Uasheiau : trouer les nuages, en soirée d’ouverture le 3 mai. L’artiste innue Soleil Launière et ses belles-filles, Élodie (12 ans) et Éléonore (9 ans), ont imaginé un terrain de jeu où les enfants prennent le pouvoir. Une dizaine de duos artistes-enfants sont invité∙es à livrer une performance pour Attiser la lumière. Ensemble, ils et elles créent un événement où le « oui » est total, où l’avenir est en jeu au sens propre comme au sens figuré. Une invitation à avoir espoir dans le présent, et à se laisser porter par ces jeunes énergies, pour se rappeler que la suite du monde est belle.
Marque de commerce du Jamais Lu, les mises en lecture seront une fois de plus au cœur du festival. Des 138 textes soumis, neuf ont été retenus. Parmi eux, Dans genèse d’une révolution sans mort ni sacrifice dans laquelle je ne fais surtout que plonger ma voix dans tes cheveux broussailleux, où Steve Gagnon signe une œuvre où il met en jeu les questionnements intimes d’une femme socialement engagée qui part vivre à la campagne. À travers cette partition à trois voix, dont il assure aussi la mise en lecture, l’auteur nous convie à une marche en forêt charnelle et philosophique.
On pourra aussi entendre et voir le texte intitulé Pour Maëlle, d’Ahmad Hamdan, une comédie romantique contemporaine délicieuse, où un jeune homme de Montréal-Nord tombe amoureux d’une fille du Mile-End. Comme il vient d’un milieu défavorisé et qu’elle est issue d’un milieu aisé, ils arrivent tous deux avec des bagages culturels bien différents. Le changement de classe sociale et la hiérarchie culturelle sont au cœur de ce projet, mis en lecture par Myriam Fugère.
Stella Lovejoy-Altamarino a remporté le prix de l’Égrégore, le concours intercollégial d’écriture dramatique du RIASQ, pour sa pièce Bouillottes. Dans une Gaspésie postapocalyptique, où l’écoanxiété devient la norme, l’autrice scrute les nuances et les complexités de l’amitié. Rose-Anne Déry assure la mise en lecture de cette création.
Cette année, la cellule artistique propose aussi sept performances permettant à sept artistes de différentes disciplines (théâtre, slam, poésie, performance, danse) de souffler sur les tisons ardents de leur désir créatif. En format 6 à 7 décontracté et gratuit, chacun de ces événements est une carte blanche, un accès des plus bruts et des plus intimes à une parole immédiate et urgente.
La prochaine édition du célèbre festival, qui se tiendra du 3 au 11 mai prochain à Montréal, proposera plus de 26 événements et projets de théâtre inédits.
« Attiser la lumière », voilà le thème de cette nouvelle édition élaborée par Marcelle Dubois, directrice artistique et générale du Jamais Lu et Lyndz Dantiste. Par cette ligne éditoriale, le duo souhaite « insuffler aux spectateur·trices de la joie, de la solidarité, de la douceur, du désir, de l’engagement, de la lumière. Parce que nous en avons bien besoin ».
À noter : Uasheiau : trouer les nuages, en soirée d’ouverture le 3 mai. L’artiste innue Soleil Launière et ses belles-filles, Élodie (12 ans) et Éléonore (9 ans), ont imaginé un terrain de jeu où les enfants prennent le pouvoir. Une dizaine de duos artistes-enfants sont invité∙es à livrer une performance pour Attiser la lumière. Ensemble, ils et elles créent un événement où le « oui » est total, où l’avenir est en jeu au sens propre comme au sens figuré. Une invitation à avoir espoir dans le présent, et à se laisser porter par ces jeunes énergies, pour se rappeler que la suite du monde est belle.
Marque de commerce du Jamais Lu, les mises en lecture seront une fois de plus au cœur du festival. Des 138 textes soumis, neuf ont été retenus. Parmi eux, Dans genèse d’une révolution sans mort ni sacrifice dans laquelle je ne fais surtout que plonger ma voix dans tes cheveux broussailleux, où Steve Gagnon signe une œuvre où il met en jeu les questionnements intimes d’une femme socialement engagée qui part vivre à la campagne. À travers cette partition à trois voix, dont il assure aussi la mise en lecture, l’auteur nous convie à une marche en forêt charnelle et philosophique.
On pourra aussi entendre et voir le texte intitulé Pour Maëlle, d’Ahmad Hamdan, une comédie romantique contemporaine délicieuse, où un jeune homme de Montréal-Nord tombe amoureux d’une fille du Mile-End. Comme il vient d’un milieu défavorisé et qu’elle est issue d’un milieu aisé, ils arrivent tous deux avec des bagages culturels bien différents. Le changement de classe sociale et la hiérarchie culturelle sont au cœur de ce projet, mis en lecture par Myriam Fugère.
Stella Lovejoy-Altamarino a remporté le prix de l’Égrégore, le concours intercollégial d’écriture dramatique du RIASQ, pour sa pièce Bouillottes. Dans une Gaspésie postapocalyptique, où l’écoanxiété devient la norme, l’autrice scrute les nuances et les complexités de l’amitié. Rose-Anne Déry assure la mise en lecture de cette création.
Cette année, la cellule artistique propose aussi sept performances permettant à sept artistes de différentes disciplines (théâtre, slam, poésie, performance, danse) de souffler sur les tisons ardents de leur désir créatif. En format 6 à 7 décontracté et gratuit, chacun de ces événements est une carte blanche, un accès des plus bruts et des plus intimes à une parole immédiate et urgente.
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