Les 21 organismes du Front commun pour les arts présentent leur mémoire prébudgétaire au gouvernement du Québec.
À l’automne, le Front commun tirait la sonnette d’alarme et réclamait déjà des actions claires pour garantir la pérennité du milieu culturel et affronter les défis qui secouent le milieu artistique :
- Porter à 200 millions $ les crédits permanents du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) dès la prochaine année financière ;
- Viser la consolidation des budgets du CALQ en rendant l’ensemble de ses crédits permanents ;
- Systématiser l’indexation des programmes du CALQ ;
- Faire de la culture d’ici une véritable priorité gouvernementale dotée d’une vision à long terme pour les milliers d’artistes et travailleurs et travailleuses culturel∙les du secteur.
« Nous ne demandons pas ces investissements pour faire du développement, nous les demandons pour maintenir les activités. Les coupures dans les programmations que des salles de diffusion annoncent depuis le début de l’année, nous les avons vues venir. C’est ce que nous avons dit au gouvernement tout l’automne », affirme Julie-Anne Richard, directrice générale de RIDEAU.
D’après le milieu, les conséquences que subira le milieu culturel si les demandes prébudgétaires ne sont pas satisfaites sont inévitables et se font déjà sentir. Dans toutes les régions du Québec de même que dans la Capitale-Nationale et à Montréal, des organismes diminuent leur programmation faute de moyens financiers suffisants. Ces confessions font écho aux nouvelles des derniers jours qui nous confirment l’état critique de la situation : manifestations, annulations, fermetures, programmations réduites, témoignages d’artistes, et bien d’autres.
« Il faut agir dès le prochain exercice budgétaire pour sauver tout un pan de l’écosystème artistique québécois, riche à notre identité culturelle, à nos valeurs, et qui nous fait honneur », croit Caroline Gignac, directrice générale, Conseil québécois du théâtre.
Le Front commun pour les arts regroupe 21 organisations représentant divers secteurs artistiques et culturels de la province. Unies par un objectif commun, ces organisations œuvrent à défendre la vitalité, la diversité et l’avenir de la culture au Québec. Face aux pressions économiques et aux défis sociaux, le Front commun revendique des investissements du gouvernement dans le secteur culturel afin de garantir la pérennité des arts.
Les 21 organismes du Front commun pour les arts présentent leur mémoire prébudgétaire au gouvernement du Québec.
À l’automne, le Front commun tirait la sonnette d’alarme et réclamait déjà des actions claires pour garantir la pérennité du milieu culturel et affronter les défis qui secouent le milieu artistique :
« Nous ne demandons pas ces investissements pour faire du développement, nous les demandons pour maintenir les activités. Les coupures dans les programmations que des salles de diffusion annoncent depuis le début de l’année, nous les avons vues venir. C’est ce que nous avons dit au gouvernement tout l’automne », affirme Julie-Anne Richard, directrice générale de RIDEAU.
D’après le milieu, les conséquences que subira le milieu culturel si les demandes prébudgétaires ne sont pas satisfaites sont inévitables et se font déjà sentir. Dans toutes les régions du Québec de même que dans la Capitale-Nationale et à Montréal, des organismes diminuent leur programmation faute de moyens financiers suffisants. Ces confessions font écho aux nouvelles des derniers jours qui nous confirment l’état critique de la situation : manifestations, annulations, fermetures, programmations réduites, témoignages d’artistes, et bien d’autres.
« Il faut agir dès le prochain exercice budgétaire pour sauver tout un pan de l’écosystème artistique québécois, riche à notre identité culturelle, à nos valeurs, et qui nous fait honneur », croit Caroline Gignac, directrice générale, Conseil québécois du théâtre.
Le Front commun pour les arts regroupe 21 organisations représentant divers secteurs artistiques et culturels de la province. Unies par un objectif commun, ces organisations œuvrent à défendre la vitalité, la diversité et l’avenir de la culture au Québec. Face aux pressions économiques et aux défis sociaux, le Front commun revendique des investissements du gouvernement dans le secteur culturel afin de garantir la pérennité des arts.