L’auteur Gabriel Charlebois-Plante a reçu ce mardi le prix Marcel-Dubé de L’Académie des lettres du Québec pour son texte Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse (Leméac Éditeur). L’Académie a remis ses cinq prix littéraires lors d’une cérémonie animée par l’écrivain Christian Guay-Poliquin.
Le jury, présidé par Lise Vaillancourt et composé de Dany Boudreault et Isabelle Leblanc, a souligné : « le souffle de l’écriture de Gabriel Charlebois-Plante [qui] est haletant. Il est furieux, théâtral. Ce texte vertigineux met en scène des êtres hors du monde, il nous entraîne dans les profondeurs de l’être et de l’écriture mais aussi dans la grandeur de ce que c’est que de vivre. La soif est grande, elle est insatiable : J’ai soif écrit l’auteur, il faudrait pas que j’aperçoive un lac par la fenêtre de ma chambre ici parce que j’irais le boire. Les images surgissent, puissantes, elles fusent, pénètrent en nous. »
Les deux autres finalistes étaient Francis Monty pour Mon conte de feu (Leméac Éditeur) et Johanne Parent pour Ornithorynques (Éditions Perce neige).
Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse a été présentée à La Chapelle Scènes contemporaines et au Prospero en 2024. Voici ici la critique de Philippe Mangerel.
En décembre 2024, la pièce avait reçu le prix du meilleur spectacle de la saison 2023-2024 de l’Association québécoise des critiques de théâtre (AQCT). La pièce avait été choisie notamment parce que « le caractère morcelé et itératif du texte amplifie la portée de cette réinvention éloquente et hautement opportune du mythe antique de Sisyphe ».
L’auteur Gabriel Charlebois-Plante a reçu ce mardi le prix Marcel-Dubé de L’Académie des lettres du Québec pour son texte Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse (Leméac Éditeur). L’Académie a remis ses cinq prix littéraires lors d’une cérémonie animée par l’écrivain Christian Guay-Poliquin.
Le jury, présidé par Lise Vaillancourt et composé de Dany Boudreault et Isabelle Leblanc, a souligné : « le souffle de l’écriture de Gabriel Charlebois-Plante [qui] est haletant. Il est furieux, théâtral. Ce texte vertigineux met en scène des êtres hors du monde, il nous entraîne dans les profondeurs de l’être et de l’écriture mais aussi dans la grandeur de ce que c’est que de vivre. La soif est grande, elle est insatiable : J’ai soif écrit l’auteur, il faudrait pas que j’aperçoive un lac par la fenêtre de ma chambre ici parce que j’irais le boire. Les images surgissent, puissantes, elles fusent, pénètrent en nous. »
Les deux autres finalistes étaient Francis Monty pour Mon conte de feu (Leméac Éditeur) et Johanne Parent pour Ornithorynques (Éditions Perce neige).
Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse a été présentée à La Chapelle Scènes contemporaines et au Prospero en 2024. Voici ici la critique de Philippe Mangerel.
En décembre 2024, la pièce avait reçu le prix du meilleur spectacle de la saison 2023-2024 de l’Association québécoise des critiques de théâtre (AQCT). La pièce avait été choisie notamment parce que « le caractère morcelé et itératif du texte amplifie la portée de cette réinvention éloquente et hautement opportune du mythe antique de Sisyphe ».