Toi, moi, Tituba…: Le chant des possibles
Il y a d’abord une forêt. Une forêt de néons, blanche et rigide, qui découpe l’espace comme autant d’archives froides dressées dans le…
Il y a d’abord une forêt. Une forêt de néons, blanche et rigide, qui découpe l’espace comme autant d’archives froides dressées dans le…
Une pièce qui réussit à être aussi dérangeante et aussi magnétique que Helgi n’est pas monnaie courante. On en sort un peu abasourdi,…
Transposer Orgueil et préjugés aujourd’hui tient du défi. Comment rendre justice à l’esprit mordant de Jane Austen tout en le traduisant dans un…