Créé en janvier dernier au Théâtre du Crochetan, à Monthey, le spectacle 1, 2, 3, nous avons des droits est représenté en Suisse et en Belgique depuis janvier.
Sur un mode tantôt ludique, tantôt sérieux, fantaisiste ou grave, cette dernière création des Deux Mondes allie théâtre, musique, chansons et multimédia pour mieux faire connaître une réalité méconnue sinon inconnue : l’existence des droits des enfants.
Sous la direction du metteur en scène Daniel Meilleur, et avec le concours de l’auteure Marcelle Dubois, l’équipe de concepteurs québécois et suisses a adapté pour la scène le livre-disque Droits d’enfants de Léopoldine Gorret et Denis Alber; ce dernier, qui dirige la Compagnie de l’Ovale, signe en outre la musique du spectacle et celle des seize chansons qu’il y interprète. Il incarne Monsieur Du Ballon, un personnage drôle et sensible qui chante des chansons animalières pour rappeler aux enfants leurs droits fondamentaux : celui d’être nourri, de vivre avec ses parents, le droit de recevoir des soins quand on est malade, d’être protégé contre les mauvais traitements et dans les conflits armés, le droit à l’éducation, aux loisirs, à la liberté d’expression, à la non-discrimination…
Dans le passé, la compagnie Les Deux Mondes s’est penchée à deux reprises sur le sort fait aux enfants. D’abord dans Parasols, en 1987, une fable sur le travail forcé des enfants – auquel la compagnie avait été exposée lors d’un séjour à Tegucigalpa, au Honduras. Puis dans l’Histoire de l’oie, de Michel Marc Bouchard, qui traitait de la violence faite aux enfants, un spectacle que la compagnie a joué de 1996 à 2007.
1, 2, 3, nous avons des droits s’appuie cette fois sur la poésie visuelle développée par le vidéaste Yves Dubé pour donner vie à une histoire touchante. Quand il était le plus petit des plus petits, et que ses frères se moquaient de lui, la maman de Monsieur Du Ballon lui avait apporté un grand livre au titre impressionnant : Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant ! Elle lui avait dit : « Prends, mon petit ballon, mon beau pigeon, mon petit dindon, ce livre magique t’aidera à grandir et à accomplir ton destin : devenir un chanteur, grand défenseur des enfants. »
Créé en janvier dernier au Théâtre du Crochetan, à Monthey, le spectacle 1, 2, 3, nous avons des droits est représenté en Suisse et en Belgique depuis janvier.
Sur un mode tantôt ludique, tantôt sérieux, fantaisiste ou grave, cette dernière création des Deux Mondes allie théâtre, musique, chansons et multimédia pour mieux faire connaître une réalité méconnue sinon inconnue : l’existence des droits des enfants.
Sous la direction du metteur en scène Daniel Meilleur, et avec le concours de l’auteure Marcelle Dubois, l’équipe de concepteurs québécois et suisses a adapté pour la scène le livre-disque Droits d’enfants de Léopoldine Gorret et Denis Alber; ce dernier, qui dirige la Compagnie de l’Ovale, signe en outre la musique du spectacle et celle des seize chansons qu’il y interprète. Il incarne Monsieur Du Ballon, un personnage drôle et sensible qui chante des chansons animalières pour rappeler aux enfants leurs droits fondamentaux : celui d’être nourri, de vivre avec ses parents, le droit de recevoir des soins quand on est malade, d’être protégé contre les mauvais traitements et dans les conflits armés, le droit à l’éducation, aux loisirs, à la liberté d’expression, à la non-discrimination…
Dans le passé, la compagnie Les Deux Mondes s’est penchée à deux reprises sur le sort fait aux enfants. D’abord dans Parasols, en 1987, une fable sur le travail forcé des enfants – auquel la compagnie avait été exposée lors d’un séjour à Tegucigalpa, au Honduras. Puis dans l’Histoire de l’oie, de Michel Marc Bouchard, qui traitait de la violence faite aux enfants, un spectacle que la compagnie a joué de 1996 à 2007.
1, 2, 3, nous avons des droits s’appuie cette fois sur la poésie visuelle développée par le vidéaste Yves Dubé pour donner vie à une histoire touchante. Quand il était le plus petit des plus petits, et que ses frères se moquaient de lui, la maman de Monsieur Du Ballon lui avait apporté un grand livre au titre impressionnant : Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant ! Elle lui avait dit : « Prends, mon petit ballon, mon beau pigeon, mon petit dindon, ce livre magique t’aidera à grandir et à accomplir ton destin : devenir un chanteur, grand défenseur des enfants. »