La chorégraphe Catherine Gaudet s’ajoute à l’équipe de Daniel Léveillé Danse à titre de créatrice associée.
Elle rejoint ainsi une cohorte de créateurs de haut niveau, composée de Frédérick Gravel, Étienne Lepage, Manuel Roque, Nicolas Cantin et Stéphane Gladyszewski, en plus du directeur artistique Daniel Léveillé, dont les productions se démarquent tant sur les scènes nationales qu’internationales.
« Le défi de la diffusion et de la pérennité des œuvres est considérable autant qu’il est crucial », témoigne Catherine Gaudet. « Aujourd’hui, en tant qu’artiste, la pertinence et le talent ne suffisent plus à s’ancrer dans la durée; il faut aussi trouver sa place dans un réseau. J’ai la nette sensation d’être à ce moment charnière de ma carrière où mon travail a besoin de circuler davantage, autant que j’ai besoin de me concentrer à l’approfondissement de ma démarche et de ma signature. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j’entrevois ma collaboration avec DLD, compagnie visionnaire dont l’expertise exceptionnelle sur le plan de la mise en marché et de la diffusion n’est plus à prouver. »
Le travail de Catherine Gaudet plonge dans les méandres de la psyché humaine et cherche à relever les traces subtiles que laissent les humeurs du monde dans l’inconscient individuel et collectif. Son œuvre met en exergue l’enchevêtrement des sensations et des contradictions qui composent l’être et révèle les distorsions qui font vaciller la façade. Avec une physicalité à la fois brute et précise, elle combine subtilement tensions dramatiques, sens de l’absurde et humour noir.
« Son œuvre est absolument percutante », souligne Daniel Léveillé. « Catherine réussit toujours à innover, à surprendre, à bousculer. Dans Au sein des plus raides vertus, elle maniait virtuosité technique et pulsion charnelle avec justesse et intelligence. Avec sa nouvelle création, Tout ce qui va revient, elle explore une colère embouteillée, prête à éclater. À notre avis, ces propositions radicales et recherchées ont le potentiel de susciter l’intérêt de nombreux diffuseurs et nous ferons tout ce qui est nécessaire pour contribuer à son rayonnement. »
Tout ce qui va revient sera présenté à la Chapelle les 7, 8, 12, 13 et 15 mars prochains.
La chorégraphe Catherine Gaudet s’ajoute à l’équipe de Daniel Léveillé Danse à titre de créatrice associée.
Elle rejoint ainsi une cohorte de créateurs de haut niveau, composée de Frédérick Gravel, Étienne Lepage, Manuel Roque, Nicolas Cantin et Stéphane Gladyszewski, en plus du directeur artistique Daniel Léveillé, dont les productions se démarquent tant sur les scènes nationales qu’internationales.
« Le défi de la diffusion et de la pérennité des œuvres est considérable autant qu’il est crucial », témoigne Catherine Gaudet. « Aujourd’hui, en tant qu’artiste, la pertinence et le talent ne suffisent plus à s’ancrer dans la durée; il faut aussi trouver sa place dans un réseau. J’ai la nette sensation d’être à ce moment charnière de ma carrière où mon travail a besoin de circuler davantage, autant que j’ai besoin de me concentrer à l’approfondissement de ma démarche et de ma signature. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que j’entrevois ma collaboration avec DLD, compagnie visionnaire dont l’expertise exceptionnelle sur le plan de la mise en marché et de la diffusion n’est plus à prouver. »
Le travail de Catherine Gaudet plonge dans les méandres de la psyché humaine et cherche à relever les traces subtiles que laissent les humeurs du monde dans l’inconscient individuel et collectif. Son œuvre met en exergue l’enchevêtrement des sensations et des contradictions qui composent l’être et révèle les distorsions qui font vaciller la façade. Avec une physicalité à la fois brute et précise, elle combine subtilement tensions dramatiques, sens de l’absurde et humour noir.
« Son œuvre est absolument percutante », souligne Daniel Léveillé. « Catherine réussit toujours à innover, à surprendre, à bousculer. Dans Au sein des plus raides vertus, elle maniait virtuosité technique et pulsion charnelle avec justesse et intelligence. Avec sa nouvelle création, Tout ce qui va revient, elle explore une colère embouteillée, prête à éclater. À notre avis, ces propositions radicales et recherchées ont le potentiel de susciter l’intérêt de nombreux diffuseurs et nous ferons tout ce qui est nécessaire pour contribuer à son rayonnement. »
Tout ce qui va revient sera présenté à la Chapelle les 7, 8, 12, 13 et 15 mars prochains.