Au confluent d’œuvres passées et de chorégraphies inédites, Lucie Grégoire nous fait voyager jusqu’aux rives intimes de sa création. Puisant tantôt dans d’autres champs artistiques, tantôt dans l’immensité des déserts et des terres sauvages que la chorégraphe a souvent explorés, ces territoires intérieurs et géographiques convergent en une trajectoire nouvelle, qu’elle partage ici sur scène avec trois interprètes. Fascinée depuis toujours par les grands espaces naturels et leur impact sur nos mondes intérieurs, Lucie Grégoire signe une nouvelle œuvre-paysage. Elle saisit la notion de territoires à bras-le-corps, au sens premier comme guré, dans l’intériorité comme dans l’extériorité, pour tirer le fil rouge de son œuvre chorégraphique. Là où lumières et horizon suscitent un sentiment d’infini qui rend l’humain si grand et si petit à la fois, ouvrant de nouvelles dimensions en soi.
La rencontre de ces espaces extérieurs et intérieurs génèrent des partitions chorégraphiques inédites et remettent en lumière d’anciennes pièces qu’elle reconfigure, entrecroise, et transmet à trois interprètes. La rejoignent sur scène Isabelle Poirier et Kim Henry, avec qui la chorégraphe avait déjà amorcé un travail de transmission pour Les Choses dernières depuis 2016, ainsi que James Viveiros, premier interprète masculin à s’approprier son œuvre. Le corpus essentiellement féminin créé sur son propre corps se transforme donc et offre de nouvelles lectures en le transposant à d’autres, mettant à profit ses longues années de recherches sur le processus de métamorphose.
La chorégraphe : Lucie Grégoire
Figure marquante de la danse contemporaine au Québec, la chorégraphe et interprète Lucie Grégoire poursuit depuis 1981 sa recherche artistique singulière. Sa feuille de route comprend plus d’une trentaine de chorégraphies : solos, œuvres in situ, pièces pour plusieurs interprètes, présentés au Canada, en Europe, à New York, en Tunisie et au Japon. Son enseignement à l’École de danse contemporaine de Montréal depuis 1989 s’intègre à sa recherche artistique. Sondant l’univers féminin, ses œuvres s’inspirent des immensités sauvages de l’Arctique, du Sahara, de l’Amazonie, de l’Islande ainsi que de la littérature universelle, de l’art et du cinéma. Elle a réalisé un cycle de création de dix ans avec le chorégraphe et danseur japonais Yoshito Ohno qui a mené à une trilogie coproduite par l’Agora de la danse. Elle prépare une œuvre in situ qui sera créée en 2019 dans les déserts volcaniques d’Islande.
Au confluent d’œuvres passées et de chorégraphies inédites, Lucie Grégoire nous fait voyager jusqu’aux rives intimes de sa création. Puisant tantôt dans d’autres champs artistiques, tantôt dans l’immensité des déserts et des terres sauvages que la chorégraphe a souvent explorés, ces territoires intérieurs et géographiques convergent en une trajectoire nouvelle, qu’elle partage ici sur scène avec trois interprètes. Fascinée depuis toujours par les grands espaces naturels et leur impact sur nos mondes intérieurs, Lucie Grégoire signe une nouvelle œuvre-paysage. Elle saisit la notion de territoires à bras-le-corps, au sens premier comme guré, dans l’intériorité comme dans l’extériorité, pour tirer le fil rouge de son œuvre chorégraphique. Là où lumières et horizon suscitent un sentiment d’infini qui rend l’humain si grand et si petit à la fois, ouvrant de nouvelles dimensions en soi.
La rencontre de ces espaces extérieurs et intérieurs génèrent des partitions chorégraphiques inédites et remettent en lumière d’anciennes pièces qu’elle reconfigure, entrecroise, et transmet à trois interprètes. La rejoignent sur scène Isabelle Poirier et Kim Henry, avec qui la chorégraphe avait déjà amorcé un travail de transmission pour Les Choses dernières depuis 2016, ainsi que James Viveiros, premier interprète masculin à s’approprier son œuvre. Le corpus essentiellement féminin créé sur son propre corps se transforme donc et offre de nouvelles lectures en le transposant à d’autres, mettant à profit ses longues années de recherches sur le processus de métamorphose.
La chorégraphe : Lucie Grégoire
Figure marquante de la danse contemporaine au Québec, la chorégraphe et interprète Lucie Grégoire poursuit depuis 1981 sa recherche artistique singulière. Sa feuille de route comprend plus d’une trentaine de chorégraphies : solos, œuvres in situ, pièces pour plusieurs interprètes, présentés au Canada, en Europe, à New York, en Tunisie et au Japon. Son enseignement à l’École de danse contemporaine de Montréal depuis 1989 s’intègre à sa recherche artistique. Sondant l’univers féminin, ses œuvres s’inspirent des immensités sauvages de l’Arctique, du Sahara, de l’Amazonie, de l’Islande ainsi que de la littérature universelle, de l’art et du cinéma. Elle a réalisé un cycle de création de dix ans avec le chorégraphe et danseur japonais Yoshito Ohno qui a mené à une trilogie coproduite par l’Agora de la danse. Elle prépare une œuvre in situ qui sera créée en 2019 dans les déserts volcaniques d’Islande.