Inscriptions théâtrales dans l’espace urbain : le cas de Montréal
Jean-Pierre Ronfard (1929-2003), qui a aujourd’hui « sa » rue1, se plaisait à évoquer l’existence de « chemins de théâtre » dans la métropole, à une époque…
Fondée en 1976, JEU est la seule revue francophone en Amérique du Nord qui soit exclusivement consacrée aux arts du spectacle vivant.
Murale de Robert Gravel réalisée par Laurent Gascon, rue Dufresne. © Patricia Belzil.
Comment et pourquoi entretient-on au Québec une mémoire du théâtre ? Quel traitement réserve-t-on à nos artistes disparus, à nos souvenirs de spectateurs, à nos œuvres du passé ? Qui sont les fantômes qui hantent nos scènes, nos coulisses, nos textes et notre imaginaire collectif ? Férus de mémoire et d’histoire, Paul Lefebvre, Gilbert David, Hélène Jacques, Alexandre Cadieux, Lucie Renaud, Gilbert Turp et Marie-Claude Verdier livrent leurs réflexions sur différents actes de mémoire et se demandent ce qui, au-delà des jeux de commémoration, se transmet réellement, et ce qui finit au contraire par sombrer dans l’oubli, pour le meilleur et pour le pire.
Hommage à Patrice Chéreau. Le centenaire du Sacre du printemps. Pascal Brullemans et l’écriture théâtrale pour bébés. Portrait du dramaturge Morris Panych par Stéphane Demers. Faust et les pièces « injouables ». Festival d’Avignon 2013. Le Théâtre Populaire du Québec (1963-1996), acte 2.
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Jean-Pierre Ronfard (1929-2003), qui a aujourd’hui « sa » rue1, se plaisait à évoquer l’existence de « chemins de théâtre » dans la métropole, à une époque…
I. En 1995, le Théâtre Denise-Pelletier a demandé à René-Daniel Dubois et au metteur en scène Joseph Saint-Gelais de reprendre Ne blâmez jamais…
Depuis un siècle, on ne compte plus les versions et les relectures du Sacre du printemps. Créée par Nijinski en 1913 sur une…
Dire quoi ? Ce qu’il était, qui il était. Hommage, éloge, dithyrambe. Ce qu’il représentait. Œuvre, carrière, génie. Mais les autres l’ont écrit avant…
Je me souviens de l’annonce de la disparition de Robert Gravel, à l’été 1996; j’avais 16 ans. Il était pour moi Miville Galarneau,…